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LA MISERE (en capital)

Misère pleinement physicale,
À rebours des sottises sentimentales,
Frappe le corps avant l’âme.

Violence clairement démonstrative,
N’implique guère la métaphysique.

S’affirme sèchement textuelle,
N’use aucun sens allusionnel.

Agression armée tranche la paroi,
Coupe la langue,
Éclate les tampons, viole la voix.

Le regard rouge de sang.
Un sang chaud enflammé,
Glisse épais sur la figure,
Mutile, brule les traits.
Le faciès blanc froid crispé,
La bouche béante coincée,
La lourde atrocité, la sourde brutalité,
De LA MISERE.

Peine réelle, non romantique,
Accablante suscite des absences narcotiques.
Les ressentis fussent surpassés.
Il faut vivre,
Réparer le déchiqueté,
Avant mourir.

Misérables Miséreux, les bénis de la vie.
Courageux portent sur eux, ses honneurs inédits.
Mal au ventre, à la poche,
Mal au cœur, à la chair,
Maux de tous et partout,
Cependant malgré tout,
Ils respirent après tout.

Ceci n’est pas une poésie, mais un texte a propos de la misère clairvoyante, vécue chaque moment, à foison, dans des coins situés et ignorés de ce monde.

J’aimerais bien écrire des textes moins sombres que ceux que je publie, mais ceux-ci sont les mots qui viennent en moi, je n’en ai pas du control.
Ce blog est l’unique place ou je peux dégorger en partie cette sombreur.
Je vois que c’est devenu assez morbide, a l’instant je considère sérieusement commencer à consommer des médicaments psychotropes, semblablement, mon aura n’est plus tolérable… j’ai essais, c’est mon mieux.
Merci  pour avoir lire




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