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22 juillet – 28 juillet 2016

C’est arrivé au Québec entre le 22 Juillet et le 28 juillet 2016

Voir aussi : Les  événements qui ont eu lieu entre le 15 juillet et le 21 juillet 2016

22 juillet 2016 : Un homme de 22 ans a été blessé à l’arme blanche par un individu qui s’était introduit par effraction dans son appartement de l’arrondissement de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grace, à Montréal. L’incident s’est produit vers 1 h au coin de l’avenue de Stirling et du boulevard Édouard-Montpetit, tout près de l’Université de Montréal. L’homme rentrait chez lui lorsqu’un suspect qui se trouvait déjà à l’intérieur de son domicile l’a agressé avec une arme blanche. La victime a subi des blessures mineures au bas du corps et a été transportée à l’hôpital, a indiqué l’agente Andrée-Anne Picard, porte-parole pour le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). Le suspect avait déjà quitté les lieux à l’arrivée des policiers. Ils ont déployé un maître-chien pour tenter de le retrouver, mais sans succès. Ils n’ont procéder à aucune arrestation. Un périmètre a été établi autour de l’appartement pour permettre aux enquêteurs et aux experts en identité judiciaire de fouiller la scène de crime. Le SPVM ignore pour le moment s’il existe un lien entre les deux individus.

22 juillet 2016 : Un homme a perdu la vie lors d’un incendie survenu vendredi matin dans un immeuble à logement de la rue Westgate, à Longueuil. Le feu s’est déclaré dans un appartement situé au troisième étage du bâtiment qui abrite six logements, vers 4 h. Des pompiers ont rapidement été dépêchés sur les lieux pour combattre le brasier. Lors de leur intervention, les pompiers ont trouvé une victime dans l’appartement où les flammes ont pris naissance. Ils ont tenté des manoeuvres de réanimation auprès d’elle, mais sans succès, a expliqué Normand Lavallée, chef de division du Service de sécurité incendie de l’agglomération de Longueuil. L’homme a été conduit dans un centre hospitalier, où les médecins ont confirmé son décès. Les pompiers étaient toujours en train d’éteindre le feu en matinée. Il était toutefois largement maîtrisé vers 5 h, a indiqué M. Lavallée. Il était trop tôt pour pouvoir déterminer la cause du brasier.

23 juillet 2016 : Quelques jours seulement après un important déversement d’eaux usées effectué par la Ville de Chambly, de nombreux poissons morts jonchent les rives de la rivière Richelieu. La Ville de Chambly a dû déverser ses eaux usées en raison des fortes précipitations qui sont tombées dans la région et qui ont fait déborder les égouts pluviaux. Résultat: condoms, tampons et d’autres déchets reviennent à la surface. «On sait que, depuis un mois, un mois et demi, au Québec, surtout dans la région ici, on a eu de fortes pluies. Donc, à ce moment-là, ça peut amener des débordements dans la rivière Richelieu», a expliqué Gilles Plante de la Régie d’assainissement des eaux dans la Vallée du Richelieu. Selon le ministère de l’Environnement, lorsque des déchets se retrouvent dans l’eau, une des conséquences possibles est celle de la mort de poissons. À Saint-Charles-sur-Richelieu, où des poissons ont aussi été retrouvés, les résidents sont maintenant obligés d’avoir une fosse septique. «Je trouve ça frustrant parce qu’on exige aux citoyens de se conformer, d’avoir des fosses bien entretenues et bien vidangées, alors que les municipalités, elles, se permettent de déverser», a confié le conseiller municipal de Saint-Charles-sur-Richelieu, Jérôme Potvin. De nombreux citoyens se sont dits inquiets de cette situation sur le bord de la rivière à Saint-Mathias-sur-Richelieu et Saint-Charles-sur-Richelieu. «Nos rivières sont déjà assez polluées. Les cours d’eau sont déjà assez pollués. Est-ce qu’il y a d’autres solutions qu’on peut trouver?», s’est demandée une citoyenne. «De plus en plus de plages sont fermées pour des choses comme ça. Donc, je ne sais pas, je pense que l’avenir nous dit qu’il faut qu’on trouve d’autres solutions pour protéger nos cours d’eau», a-t-elle ajouté. «Ça vient que, à un moment donné, nos enfants vont vivre là-dedans plus tard. Je ne sais pas si le gouvernement n’aurait pas d’autres moyens de faire leurs déversements, d’agir autrement», a quant à lui proposé un résident.

23 juillet 2016 : Une petite chienne âgée d’environ quatre mois est morte cette semaine après avoir été abandonnée dans une boîte en face d’un magasin Walmart, à Gatineau, en Outaouais. La Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) de l’Outaouais a ouvert une enquête pour découvrir ce qui a bien pu arriver à l’animal, a rapporté vendredi le Ottawa Citizen. La directrice de l’organisme Sit With Me, Melissa Dumont, a indiqué que c’est un employé du Walmart qui a découvert jeudi la pauvre chienne dans un état lamentable. Il l’a tout de suite amenée à la SPCA, qui l’a conduite dans un hôpital vétérinaire. «Nous ne pensions pas qu’elle allait y arriver. J’aurais eu besoin d’une sirène d’urgence sur le toit de ma voiture», a imagé Mme Dumont. Le chiot vomissait, frissonnait, était déshydraté et avait de la difficulté à respirer. Il était aussi en état d’hypothermie. À l’hôpital, la petite Benz a reçu de l’oxygène et des antibiotiques. Une analyse aux rayons X a permis de découvrir qu’elle souffrait d’une infection qui avait grandement affecté ses poumons. Très mal en point, la chienne avait aussi des côtes fracturées et avait du sang dans son urine. Elle s’est tout de même battue pour rester en vie pendant près de 24 heures. Vendredi après-midi, Mme Dumont a été informée du décès du chiot. «C’était juste trop pour son petit corps», s’est désolée Mme Dumont, citée par le Ottawa Citizen. Sit With Me a déploré la mort du chien sur sa page Facebook, estimant que Benz aurait pu être soignée à temps si elle n’avait pas été abandonnée devant un Walmart. L’organisme somme les propriétaires à amener leurs animaux à la SPCA, chez un vétérinaire ou dans un refuge s’ils ne sont plus capables de s’en occuper.

23 juillet 2016 : Plus de 15 000 $ ont été amassés en six jours pour soutenir les employés de l’entreprise Canards du Lac-Brome, victime d’un troisième incendie en sept mois le 16 juillet dernier. La collecte de fonds a été lancée le jour même du sinistre par le courtier immobilier Réginald Gauthier et son agence Les Immeubles Coldbrook. «Tous les fonds seront partagés également entre les employés de Canards Lac-Brome et leurs familles. Montrez-leur qu’ils sont importants pour notre communauté. Donnez généreusement», a écrit M. Gauthier sur une page dédiée à la campagne de financement, hébergée sur le site GoFundMe. Plus de 100 travailleurs ont perdu leur emploi à la suite de l’incendie qui a ravagé les installations de Canards du Lac Brome à Knowlton, en Montérégie, le 16 juillet dernier. Une usine de transformation, des bureaux administratifs ainsi qu’une boutique ont été totalement perdus. Il s’agissait du troisième sinistre à survenir cette année dans des installations appartenant à l’entreprise Canards du Lac-Brome. Au début du mois de janvier, un bâtiment d’élevage avait été complètement rasé par les flammes à Racine, en Estrie. Environ 50 000 volailles avaient péri dans l’incendie qui était d’origine accidentelle. En mars, c’était une canardière située sur le chemin Miquelon à Saint-Camille qui a été ravagé par le feu. Entre 6000 et 7000 volailles se trouvaient dans le bâtiment lorsque l’incendie a éclaté pendant la nuit du 16 au 17 mars.

24 juillet 2016 : La police de Montréal a ouvert une enquête sur un incendie suspect survenu samedi soir dans le quartier Parc-Extension, à Montréal. Le feu s’est déclaré vers 21 h 30 dans un immeuble résidentiel de deux étages situé sur la rue Durocher. Les pompiers appelés sur les lieux ont rapidement pu éteindre le foyer d’incendie dans la cage d’escalier du bâtiment. Selon le Service de sécurité incendie de Montréal, un objet ressemblant à une valise semble avoir été délibérément mis en feu. L’enquête a donc été confiée à la section des incendies criminels du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). Il n’y a eu aucun blessé et tous les occupants de l’immeuble ont pu retourner chez eux pour y passer la nuit. Le SPVM n’a aucun suspect dans sa mire et des enquêteurs vont se déplacer sur les lieux dimanche en avant-midi.

25 juillet 2016 : Un homme dans la soixantaine est mort lundi après avoir été écrasé par un tracteur à gazon sur le rang du Moulin à Saint-Chrysostome, en Montérégie. L’accident est survenu peu après 17 h 30. Selon la Sûreté du Québec, le tracteur s’est renversé sur l’homme lorsque celui-ci tentait de le sortir d’un fossé. Des manœuvres de réanimation ont été pratiquées sur le sexagénaire sans succès. Son décès a été constaté à l’hôpital.

26 juillet 2016 : Une attaque impliquant deux gros chiens s’est soldée tragiquement par la mort d’un petit pug, dimanche à Cowansville, le propriétaire de l’animal a aussi été blessé en tentant de le sauver. Ti-Quart, un pug croisé de 9 kilos, a été sauvagement attaqué par deux molosses. Michel Jameson a été mordu au bras en essayant de tirer son chien des crocs des deux molosses. «Ces chiens-là ont des mâchoires. J’ai tout fait pour l’arrêter. J’ai sauté dessus, j’ai essayé de les séparer, j’ai essayé de lui crever les yeux. Il n’y a rien que je n’ai pas fait à ce chien-là pour qu’il lâche le mien. J’ai finalement réussi, mais en revenant ici, le chien m’a sauté dessus et m’a mordu», a raconté M. Jameson. À l’arrivée de la SPA à l’immeuble à logements de la rue Léopold, le chien de M. Jameson était déjà mort. Selon les témoins, les deux molosses ne portaient ni collier ni laisse. La personne responsable des chiens a été incapable de les contrôler. «C’est vraiment irresponsable. Aucun contrôle sur son chien, c’est ça le problème», a déploré le propriétaire de Ti-Quart.

26 juillet 2016 : Des jeunes filles, une soixantaine, ont été piégées sur l’internet par Simon Fortier, âgé de 33 ans, qui leur a fait poser des gestes à caractère sexuel. L’accusé de 33 ans s’est présenté en Cour mardi pour contester la suramende compensatoire de plus de 23 000 $ qui doit lui être imposée. Son avocat est d’avis que ce montant, ajouté à la longue période de détention que son client écopera, constitue une peine disproportionnée. Me Jean-Guillaume Blanchette a plaidé sa requête en inconstitutionnalité au Palais de justice de Sherbrooke. Depuis trois ans, les juges n’ont plus la discrétion d’imposer ou non la suramende compensatoire qui est de 200 $ par chef d’accusation. Dans le cas de Simon Fortier, coupable de 117 chefs de leurre informatique d’enfants et crimes de nature sexuelle, les suramendes totalisent 23 400 $. L’accusé de 33 ans s’ expose à une longue peine d’emprisonnement et dans ce cas-ci, la poursuite réclame 15 ans. L’avocat de Simon Fortier allègue que l’imposition obligatoire de la suramende, sans égard à la situation financière du contrevenant, viole un article de la Charte des droits et libertés qui vient garantir une qualité de vie à toute personne en l’exemptant d’une peine cruelle et inusitée. Le Code criminel prévoit l’emprisonnement en cas de défaut de paiement: une journée additionnelle de détention pour chaque tranche de 86 $. Dans le cas de Simon Fortier, cela représenterait 272 jours, tout près de neuf mois. À moins qu’il n’accepte d’effectuer des travaux compensatoires auprès d’organismes, pour tout près de 600 heures. L’ancien enseignant d’éducation physique a affirmé qu’il souhaiterait refaire sa vie à titre de nutritionniste. Sans le sou à sa sortie de prison, il devra se trouver un emploi pour payer ses études. Me Jean-Guillaume Blanchette considère que cette situation risque de compromettre sa réhabilitation. Le juge Érick Vanchestein a entendu les arguments du criminaliste et de la représentante du procureur général du Québec. Il rendra sa décision à une date ultérieure.

26 juillet 2016 : Un jeune homme noir a été atteint par balles mardi après-midi lors d’une fusillade où plusieurs dizaines de coups de feu ont été tirés, dans la cour arrière du poste de police de la Sûreté du Québec (SQ) de Vaudreuil-Dorion, en Montérégie. Selon plusieurs témoins, environ une trentaine de projectiles ont été tirés entre les policiers et le suspect de 26 ans. Ce dernier aurait été atteint plusieurs fois au niveau de l’abdomen et du thorax. Il a été transporté à l’hôpital dans un état grave. Selon les services d’urgence, sa vie ne serait pas menacée, en dépit du fait qu’il ait été atteint de plusieurs projectiles. L’histoire a débuté aux environs de 13 h, lorsque des patrouilleurs de la SQ ont tenté d’intercepter une luxueuse voiture de marque BMW rapportée volée en Ontario. Le conducteur roulait à très grande vitesse sur l’autoroute 20, à la hauteur de Les Cèdres. Refusant de s’immobiliser, le suspect a provoqué une poursuite policière. Pour une raison encore inconnue, l’individu a pris une sortie menant à Vaudreuil-Dorion et a soudainement bifurqué dans le terrain de stationnement du poste de la SQ, situé sur le boulevard Harwood. Il s’est alors immobilisé à l’arrière du bâtiment. «Le gars est sorti du char et a commencé à tirer en se servant de la portière comme bouclier», a raconté un témoin de la scène, Arman Moradi, encore sous le choc. «Puis, il s’est mis à avancer vers les policiers en continuant de tirer. Il avait l’air de se prendre pour un superhéros. Il était clairement sous l’influence de la drogue» a-t-il ajouté. Les policiers ont répliqué, ouvrant le feu à de nombreuses reprises en direction de l’individu. Selon nos informations, au moins un agent de la SQ est sorti du poste pour aller prêter main forte à ses collègues à l’extérieur, ouvrant lui aussi le feu. Le forcené s’est ensuite écroulé dans une mare de sang, au beau milieu du stationnement. Il a été menotté par les policiers, tout comme la femme qui l’accompagnait à bord de la voiture volée. Aucun policier n’aurait été blessé lors de la fusillade, mais deux d’entre eux ont été transportés à l’hôpital par mesure préventive. L’enquête visant à éclaircir les circonstances de cette intervention policière a été confiée au Bureau des enquêtes indépendantes (BEI). Huit enquêteurs du BEI ont été dépêchés sur place.

27 juillet 2016 : Des ossements qui pourraient être humains ont été trouvés mercredi près d’une voie ferrée, dans Hochelaga-Maisonneuve, à Montréal. Selon le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), ce sont des citoyens qui ont contacté les autorités, vers 18 h 15, pour rapporter des ossements localisés dans un boisé qui longe le chemin de fer, près des rues Rouen et Moreau. «On pouvait y voir aussi des vêtements parmi les ossements s», a indiqué André Leclerc, porte-parole du SPVM. Un périmètre a été érigé et une enquête a été ouverte. «L’hypothèse d’un suicide fait toujours partie des possibilités, a-t-il précisé […] On a besoin d’une étude poussée pour pouvoir confirmer qu’on est en présence d’ossements humains et pour comprendre aussi la présence des ossements à cet endroit.»

27 juillet 2016 : Un homme de Niagara Falls qui avait acheté des billets de loterie en formule de groupe a plaidé coupable à des accusations de fraude et de vol après avoir essayé de garder pour lui seul les gains de 7 millions $ d’un gros lot 6/49. Frank Galella, âgé de 67 ans, connaîtra sa sentence le 8 septembre prochain. Le tirage avait eu lieu en juillet 2013. Les 11 membres du groupe avaient l’habitude de se réunir dans un Tim Hortons de la rue Dorchester à Niagara Falls, en Ontario, et, ce jour-là, Frank Galella s’était rendu faire valider son billet à un terminal libre-service. C’est à ce moment qu’il réalisa que le groupe remporté le gros lot, raconte le National Post. Plutôt que d’aviser les autres membres, M. Galella s’est présenté à un terminal et a fait valider deux billets de loterie non gagnants. Il a ensuite élaboré un plan, avec sa fille et son fils, afin de leur permettre de garder le billet gagnant et l’importante cagnotte. Les enfants de Frank Galella se sont présentés au Toronto Prize Center le 2 août pour réclamer le gros lot. Le billet de groupe était alors signé de leurs deux noms. Ils ont rempli les formulaires et déclaré qu’aucune autre personne ne devait partager le prix. Le lendemain, M. Galella a revu les membres du groupe au Tim Hortons et leur a annoncé qu’ils n’avaient rien gagné en leur produisant les deux billets qu’il avait fait valider le jour où il a compris qu’il avait raflé le gros lot. Il a ensuite annoncé à son groupe, que sa fille et son fils étaient nouveaux millionnaires et qu’ils avaient étaient les grands gagnants. La tromperie du sexagénaire a été démasquée et des membres du groupe ont contacté la Corporation des loteries et des jeux de l’Ontario en s’identifiant comme les véritables gagnants. L’homme a été arrêté le 9 octobre 2013. Sur les 11 membres du groupe, 10 ont reçu leur juste part. La portion de prix de Frank Galella a été retenue en fiducie et attend toujours une réclamation en bonne et due forme.

28 juillet 2016 : Un jeune d’une vingtaine d’années est décédé jeudi matin après s’être électrocuté en tentant de grimper sur un poteau d’Hydro-Québec, à Rivière-du-Loup, dans le Bas-Saint-Laurent. Vers 1 h 50, la victime et un autre jeune d’environ 20 ans se trouvaient sur le boulevard Armand-Thériault lorsqu’ils ont eu l’idée de s’agripper au poteau. Un des jeunes a grimpé jusque sur une plateforme, mais a commencé à ressentir les effets d’un courant électrique, a indiqué Christian Leclerc, porte-parole de la Sûreté du Québec. Il s’est alors laissé tomber sur le sol. Il n’a pas été blessé, mais a été transporté à l’hôpital pour y soigner un choc nerveux. L’autre jeune a poursuivi son ascension, mais a eu moins de chance et a été durement touché par une décharge électrique. Il a été transporté dans un centre hospitalier de Rivière-du-Loup où son décès a été constaté. M. Leclerc a tenu à rappeler qu’il faut éviter de s’affairer autour d’installations électriques.

28 juillet 2016 : La police de Montréal a annoncé jeudi soir l’arrestation d’un suspect en lien avec le huitième homicide survenu sur le territoire en 2016. Jonathan White, 24 ans, a été arrêté mercredi et a comparu jeudi à la Cour du Québec sous une accusation d’homicide involontaire. Vers 21 h, le 12 janvier dernier, un homme de 84 ans a été retrouvé par une passante gisant à l’angle des rues Clark et Sainte-Catherine. «L’homme a été conduit à un centre hospitalier où il est demeuré hospitalisé jusqu’à son décès le 6 mai dernier», indique le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) dans son communiqué. «L’enquête a permis de conclure que la victime a été frappée par un suspect lors d’un conflit. L’autopsie réalisée à la suite du décès de la victime a permis d’établir une relation de cause à effet entre l’événement et le décès», a souligné l’agent Benoit Boisselle, porte-parole du SPVM.

Un oiseau dans le parc Jean-Drapeau. Photo : GrandQuebec.com

Voici les sources que nous avons consultées pour ajouter ces nouvelles :

  • fr.canoe.ca/infos
  • Radio-Canada
  • Journal de Montréal
  • Journal de Québec
  • Cyberpresse


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