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LE COLLECTIF N’A AUCUNE INFLUENCE SUR L’UNICITÉ DE CHAQUE ÊTRE

Message d’El Morya reçu par Agnès Bos-Masseron 

La clef est de couper la croyance que tu es influencée par le collectif. Cette croyance est engrainée très profondément dans le cerveau, la physiologie et les cellules de tous les êtres humains. Et lorsque nous te disons cela, c’est à l’humanité que nous le disons.

Le collectif en soi est une illusion. Et l’illusion est générée par la croyance dans son existence. Ou plutôt l’assemblée, la société, la fraternité existent bien, mais pour celui ou celle dont le positionnement est vertical, l’assemblée, la fraternité, n’ont aucune l’influence sur l’unicité de Chaque être.

La croyance est l’emprisonnement. Et ce qui génère l’apparence correspondant à la croyance, est de pouvoir admettre d’être influencé par un collectif pesant. Cela n’existe que dans la réalité des modes laxistes. Cela ramène toujours à l’invitation : sortir des modes laxistes. L’humanité va dire “c’est trop dur, c’est astreignant, presque impossible”. Pourtant, pourtant nous rappelons encore et toujours le sens profond d’être humain.

Beaucoup sont venus marcher sur les routes des hommes, ont été appelés maîtres et considérés comme à part, des élus, des bénis. Chaque être est élu et béni. Le moteur pour couper cette croyance et être en conscience porté par la fraternité au lieu de freiné par ce collectif illusoire – même si, nous en sommes conscients, l’illusion est bien agrippante le moteur pour réaliser cela est de continuer à intégrer les dons, d’intensifier la verticalité, d’intensifier la présence, de choisir les modes de l’hygiène la plus pure à tous les niveaux en ajustant par la joie de l’artiste… L’incarnation est une œuvre d’art. L’on cisèle, l’on donne les coups de pinceaux et l’on émet les notes musicales qui permettent de créer sa propre unicité…

Apprendre l’art de l’incarnation, cela suscite la plus grande des passions. Le secret est de vivre depuis la passion et non depuis la croyance qu’il puisse être compliqué, difficile, presque impossible de sortir de ce laxisme qui correspond à la fréquence de ce collectif qui semble enfermé. C’est pour cela qu’encore et toujours nous invitons au dynamisme, à cultiver le dynamisme à tous les niveaux, à la vigilance, à la clarté, aux choix conscients. Sortir de la boue du laxisme.

Message de l’Être reçu par Agnès Bos-Masseron

Jamais la fraternité ne considère l’humanité tellement déchue qu’elle lui tend la main.

La base, nous l’avons dit et le redisons et le redisons, et cela est bien. Il est bien de le dire et de le redire et de le redire pour que cela s’imprime dans la trame de la physiologie et que cela rayonne au sein de l’aura. La base est la passion d’être la vie. La base est la certitude du tout est possible. Rien ne peut empêcher le jaillissement de l’être qui modèle l’unicité de sa perfection.

L’ouverture est la puissance du jaillissement de cette évidence. Le choix clair et conscient est que cela ne peut s’accompagner des habitudes de laxisme qui sont le mode de fonctionnement à tous les niveaux de l’humanité. Il vaut mieux attendre, n’est-ce pas ? Cela semble moins contraignant et puis cela va bien venir, et puis tout est déjà accompli…

Cela aussi à un certain niveau est erroné. Pourtant il est vrai, tout est accompli. La perfection ne peut qu’être perfection. La vie ne peut qu’être la vie. Et la joie d’être le jaillissement, cela est éternel. Et la joie de l’autodépassement de l’être qui à travers l’incarnation retrouve un modèle toujours plus beau de l’éternelle perfection. C’est cela le moteur.

Contrairement à ce que bien des courants disent ou insinuent, la facilité reste exclue des modes de l’incarnation…

Jamais la fraternité n’a pu concevoir que l’aide qu’elle apporte à l’humanité est parce qu’elle considère l’humanité tellement déchue qu’elle lui tend la main, et peut-être que la petite humanité parviendra à lever la sienne… Non, cela n’a jamais été la vision qu’a la fraternité des êtres humains. La fraternité considère chaque être dans la perfection du Vénérable. Elle lui rappelle “lève-toi, prends ton grabat et marche. Marche ! Tes jambes sont saines ! Tous les aspects de toi sont la perfection de l’Être. Marche. Je ne te porte pas. Tu es trop beau, tu es trop belle. Jamais je ne te porterai, mais marche. Ressens le don de la Terre, ressens le don des étoiles et ressens ce temple éternel qu’est le cœur, le point du juste milieu, le temple.”

Là est le creuset de l’alchimie, et là est le feu.

Message de l’Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 20-4-23

La Terre sort de la linéarité du temps.

Ecouter le silence. Au cœur du silence est le point du juste milieu. Dans ce point du juste milieu, vous vous reconnaissez. Vous reconnaissez le tout et la source de tout. Dans ce point du juste milieu, vous sortez du temps et retrouvez l’éternel.

Vous le savez, la Terre sort de la linéarité du temps. Comprenez cela concrètement. Bien sûr tous les êtres vivant en mode automatique répliquent la croyance et l’habitude du fonctionnement au sein de la linéarité. Pourtant, tous et toutes peuvent remarquer que la relation au temps change. On semble avoir moins de temps et pendant cette période, le temps semble s’étirer.

La Terre sort de cette croyance de linéarité du temps. Simplement parce qu’elle change de fréquence, de vibration, elle se trouve aspirée, attirée comme par un aimant vers la simultanéité, hors de la linéarité.

Les deux réalités sont parallèles. Les habitudes et les croyances font que seule la linéarité est privilégiée. Et la simultanéité réside comme cachée au point du juste milieu, ce centre qui est la source de tout jaillissement.

La Terre changeant de fréquence, l’accès à la simultanéité, à l’éternité, est plus ouvert. Encore faut-il accepter de déposer les croyances liées au fait que la linéarité est la seule réalité. Elle ne l’a jamais été. Elle est la réalité correspondant à une vibration, à une fréquence. Et là l’éternité semble voilée ou même très cachée. Pourtant de toute éternité, parallèle à linéarité, est la simultanéité du temps.

Le passé n’est pas avant, le futur n’est pas après. Il n’est que maintenant, des milliards de facettes de maintenant. Les croyances dans la linéarité et la vibration correspondant à ces croyances font interpréter le passé et le futur en termes de linéarité. Cela n’est qu’un aspect de la réalité. La Terre changeant de vibration, changeant de fréquence, ouvre à l’évidence de la simultanéité. Ce qui, pour le point de vue de la linéarité, était avant, n’est qu’une autre facette de maintenant. Ce qui, d’après le point de vue de la réalité, est après, est maintenant, une autre facette de maintenant.

Ainsi une autre loi de causes et d’effets. Chaque être est un prisme au millier de facettes. Et la beauté est que l’attention donne vie à la facette correspondant à la vibration de l’attention. Garder les yeux rivés sur l’éternel. Ecouter le silence est donc écouter l’éternité. Ecouter l’éternité est aimer et adorer le-la Vénérable.

Vous le savez, lorsque le temps est ramené à l’éternel, l’espace est ramené à l’infini. C’est ainsi que se fond la notion de distance, d’éloignement. Ecouter le silence est écouter le cœur de la création. Une symphonie de pulsations toutes présentes ici et maintenant.

Ecoutez bien la symphonie de pulsations toutes présentes ici et maintenant. Ainsi chaque parcelle de création peut être rencontrée, peut être appréciée, peut être découverte et adorée ici et maintenant. Ainsi, plus de dimensions, plus de plans, plus de distance, plus d’éloignement. Seule est l’intimité de la symphonie de pulsations du cœur de l’éternité.

Pour que s’opère l’ouverture, pour qu’elle soit, non contenue dans un abstrait mais concrétisée dans la matière de la Terre, il faut bien offrir les habitudes et les croyances qui créent des voiles et des réalités illusoires. Oser cela…

Voyez la beauté, vous abolissez la croyance dans l’espace et dans le temps, et tous les voiles tombent. Cela implique être prêt à offrir les histoires que certains racontent sur le déroulement de l’ouverture inscrit dans le temps et l’espace. Ces histoires ne sont que des reflets très fades de la réalité qui transcende le temps et l’espace. Tout est alors absorbé dans l’ultime simplicité qui est l’ultime intensité, le regard, le regard du Vénérable qui s’offre à lui-même car seul est cela.

Cette offrande du regard est le déploiement de la création. Ce déploiement ne passe pas nécessairement par la croyance dans le temps et l’espace. Ainsi sont actualisées l’éternité et l’immortalité. Ainsi par l’intensité de l’union au sein de ce regard, la matière peut être transmuée et transfigurée. Ce n’est qu’ainsi que s’opèrent les miracles et c’est ainsi que peut être vécue la vie éternelle.

Il conviendrait que l’humanité accepte d’offrir les croyances dans la linéarité et donc dans le devenir. La perfection connaît bien l’autodépassement de façon intrinsèque à sa nature. Cela ne signifie pas le devenir car le devenir implique la linéarité…

Il est réel, pour que l’ouverture soit actualisée, il convient de lâcher prise des habitudes et des croyances qui forgent les histoires, même les histoires décrivant soi-disant l’ouverture. L’on ne peut placer l’ouverture en référence avec le connu, car l’ouverture transcende le connu. La référence ultime est le Un, le retour à l’évidence que seul est le Un et que la fraternité du vivant est ces milliards de facettes du Un qui se projette à l’infini pour découvrir et savourer la perfection de sa nature, la symphonie des battements du cœur, le cœur du Un.

Alors écouter. Ecouter sans projeter. Ecouter simplement; offrant tout voile de croyance, tout voile d’habitude…

Voyez ici et maintenant, se fondent tous les lieux paradisiaques dans l’évidence de cette symphonie de pulsations qu’est la vibration de chaque être, de chaque parcelle de création touchant le cœur de l’éternel, émergeant à peine. Le mental ne peut avoir accès à cela. Le mental est régi par la relation entre le temps et l’espace. Offrir cette relation est bien choisir de le transcender. Alors que tant fabulent sur des histoires d’ouverture forgées à l’image de la réalité mentale, oser s’incliner, se taire et tout déposer.

Message de l’Être reçu par Agnès Bos-Masseron

Personne ne viendra transformer la Terre, elle est la projection de ce que vous êtes.

Nous vous donnons les clefs pour que l’invitation soit réalité. La première clef, vous le savez, est l’absolu de l’ancrage. Il ne s’agit pas de frôler l’ancrage quelquefois. Vous savez que l’ancrage est réel lorsque physiquement l’énergie repose dans le chakra de vos cœurs qui alors est le centre. Tant que l’énergie, à quelque moment que ce soit, s’accumule soit dans la sphère mentale, soit dans les émotions ou l’ego, cela veut dire que l’ancrage n’est pas réalisé. Alors vous continuez et continuez et continuez. La Terre vous offre des racines et le Ciel une flamme, reliées au cœur du Ciel et au cœur de la Terre, concrètement.

La vie, vous le savez ou l’humanité l’a peut-être oublié la vie n’est pas d’être tremblotant, balloté par les émotions, par le collectif ou par les babillages mentaux. La vie invite à recentrer l’énergie pour être la vie. La vie invite à être pleinement ancré car c’est lorsque vous êtes pleinement ancrés que vous pouvez savourer la vie. Beaucoup parlent d’ouverture du cœur, oubliant que le cœur est naturellement ouvert lorsqu’il est nourri de l’énergie et de l’attention.

Vous savez que vous êtes ancrés lorsque tout est ouvert et que vous êtes offerts. Alors tout parle, communique, et vous entendez les voix des arbres et des forêts, des herbes et des planètes, les voix de la fraternité, et vous entendez la voix du cœur du silence. Lorsque vous êtes ancrés, tout s’ouvre et tout est possible.

Et si cette année pouvait être l’année du tout est possible ? Comprenez-le, tout est possible lorsque vous le créez. Personne d’autre ne le créera jamais pour vous. Personne ne viendra transformer la Terre car la Terre n’est que la projection de ce que vous êtes et vous la percevez comme vous êtes. Certains la voient comme un feu de lumière et de dévotion. Certains la voient comme le théâtre du tout est possible. D’autres la voient autrement et peu importe. Ce que les autres voient n’est pas votre réalité. Votre réalité est ce que vous projetez.

La base, nous le répétons toujours, est donc la pleine présence à soi. Et l’on ne peut être présent à soi et en même temps être balloté par les émotions, le mental ou l’ego. La présence à soi est la présence au cœur. La présence au cœur est l’ouverture. La présence au cœur est le corps nourri de cette lumière qu’est la vie avec une telle intensité que l’équilibre est rétabli.

L’énergie repose dans le cœur. Le cœur alors est soleil de lumière. Et ce soleil éclaire et vous percevez tout. Et ce soleil éclaire et vous entendez tout. Tout vous entend, tout vous écoute. Et vous savez que ceux qui vous écoutent entendent la voix du tout à travers votre voix, et que ce que vous entendez est la voix du tout à travers chaque voix. C’est cela la vie. Simple, plein, concret, car l’incarnation n’est pas de rêver une vie idéale. L’incarnation est de vivre l’idéal de sa vie maintenant…

Voyez, le cœur est soleil de lumière et nul n’a besoin de se préoccuper de comment résoudre les problèmes que le mental imagine. Lorsque le cœur est vécu concrètement comme soleil de lumière, la puissance de soleil se fait torrent et cascade, et vient inonder toutes les situations et toute la planète. Tout est harmonisé, tout est résolu, tout est nettoyé, tout est orchestré.

La seule attention donc est de faire concrètement du cœur ce soleil de lumière, cette flamme éternelle. Elle l’est de toute façon cette flamme éternelle. Simplement l’incarnation est bien d’actualiser cela. Non une petite flamme vacillant à chaque vent des émotions, le feu de l’amour, le soleil éternel, stable. Et coulent des cascades et des torrents de lumière dans la structure corporelle jusqu’au cœur de la Terre et jusqu’au cœur du Ciel. C’est cela le centre de l’attention car lorsque cela est réalisé, tout est accompli. Lorsque cela est réalisé, l’être danse pleinement la danse de la vie, pleinement actif, simplement actif, infiniment confiant, parce que la vie n’est que générosité et la vie n’est que bonté et bienveillance.

Alors, dans la pleine confiance que tout ne peut qu’être donné, vous donnez et vous recevez. Le cœur n’a jamais besoin de se soucier des soi-disant problèmes que le mental imagine. Et le comprenez-vous, même la pollution de la planète est un problème imaginé par le mental parce que le cœur sait qu’avec une intensité totale d’amour, d’attention, de lumière, de présence, instantanément la Terre est nettoyée.

L’équilibre, c’est l’amour qui le donne. L’harmonie, c’est l’amour qui la crée. Et l’amour est la joie. C’est pour cela que s’il est un message que nous aimons murmurer, chanter et répéter, c’est le chant de la pleine présence. Les autres n’existent pas. Ils sont la projection de sa réalité intérieure. La création n’est que la projection de la réalité de chaque être.

Et si cette année nouvelle était l’année où chaque être accepte pleinement d’être le créateur de sa réalité, ne trouvant plus aucune excuse qui pourrait empêcher la pleine présence à soi ?

Il est vrai, beaucoup disent être entraînés par les flots du mental ou des émotions. Nous disons tout est un choix. Si vous voulez vivre la vie cosmique, faites le choix de ramener le corps à son état originel. Le cœur, soleil de présence et soleil d’amour, déverse des torrents et des cascades de lumière dans tous les organes, dans tous les membres, jusqu’au cœur de la Terre et jusqu’au cœur du Ciel. L’être ainsi infiniment connecté, éternellement est un éclat de rire offert au Divin, et cela dans le cœur du silence et de l’énergie rassemblée.

Voyez, nous ne parlons pas de poésie ou d’abstraction. Nous parlons de la vie sur la Terre telle qu’elle est conçue originellement. Et c’est maintenant qu’elle est conçue, maintenant. Dans ce jour ou cette année qui s’ouvre, maintenant, dans cette éternité qui est. Faire de cette année la réalisation de cela.

Comprendre qu’il est une intensité de présence qui est la clef du tout est possible. Par cette intensité de présence, le corps change de fréquence, change de densité. Traverser des murs, se téléporter, aller au cœur des étoiles ou au cœur des océans, cela fait partie du tout est possible. La clef pour cela est l’intensité de présence.

Vous continuez ainsi à intensifier la présence. Vous faites de cela le cœur de votre dévotion. Ainsi tout s’harmonise. Tout est donné. La vie est bonté et bienveillance. La vie est le flot de la grâce. Imprimez cela dans le cœur du collectif de la Terre et de l’humanité.

Message de l’Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 21-2-23

Certains croient que l’ouverture amène plus de facilité…

La terre s’ouvre et libère les feux de la joie, de l’amour. Aller la rencontrer dans cette ouverture et cette libération, c’est choisir la maîtrise, la simple maîtrise sur tous ces mouvements impulsifs, que ce soient les humeurs, les émotions, les appétits, la simple maîtrise, la simple maîtrise qui ouvre à La Maîtrise.

Plus que jamais, choisir. Dans chaque moment, choisir d’actualiser son appartenance à l’évidence d’être lumière. Choisir d’être créateur du monde d’harmonie ou choisir les anciens modes, ceux des esclaves de leur propre léthargie, ceux qui acceptent les limites de l’impulsivité.

Choisir d’être le feu de la joie. Choisir l’autodépassement. Choisir d’écouter dans l’amour tous les mouvements intérieurs et choisir la maîtrise. Embrasser ce qui va dans le sens des anciens modes d’inertie, de léthargie ou d’impulsivité. Choisir d’embrasser les appétits, les impatiences, les humeurs, les émotions pour être le feu du sentiment qui embrase la Terre.

Certains croiront peut-être que l’ouverture amène plus de facilité, elle amène certes plus de simplicité. Elle amène aussi plus de clarté. Elle amène l’invitation à choisir avec plus d’acuité.

Faire de ce choix un acte d’amour intransigeant.

Le choix n’est qu’entre soi et soi-même car l’être qui choisit la maîtrise sait qu’il ou elle est créateur de sa réalité et sait ne plus projeter sa propre vision sur ceux et celles avec qui il ou elle entre en relation.

Aller rencontrer l’ouverture c’est choisir dans chaque moment. L’ouverture ne peut effacer les tendances léthargiques. Chaque être doit agir et choisir. Il est vrai, le choix peut être facilité par la montée d’énergie. Le choix doit rester choix. Le libre arbitre reste absolu. Et que choisit chaque être ? Les anciens modes ? L’impulsivité face au désagrément ? Ou le mode de la noble maîtrise ?

L’ouverture n’implique pas le facile. Cela accroît le simple et cela accroît l’invitation à faire le choix de noblesse dans chaque choix. Le libre arbitre reste la loi absolue et c’est le libre arbitre envers soi-même qui fait choisir la léthargie des anciens modes ou la noble implication par son comportement, par ses pensées, par ses actes, la noble implication de la lumière qui se sait créatrice d’un monde de lumière. Pour un tel être, l’univers sourit et comble des dons de bénédiction.

La Terre s’ouvre. Le plus beau don est d’aller rencontrer l’ouverture avec la beauté de son intention traduite en action. C’est cela qui fait que chaque être devient cocréateur. Cocréer n’est plus acte d’héroïsme, il est acte de simplicité car le choix d’honorer la noblesse et de quitter les anciens modes est le choix le plus simple, le plus grand, le plus beau don qui puisse être fait à l’ouverture.

Le choix prépondérant n’est plus dans l’action mais dans le comportement et la relation. Entrer en relation avec soi et son environnement depuis le choix d’être noblesse.

L’ouverture permet aux relations d’être plus serrées, aux connexions plus intimes. La relation et la connexion de l’être avec lui ou elle-même, la connexion ou la relation entre les êtres, la connexion ou la relation entre chaque être et tous les points du cosmos.

La montée en énergie, en puissance vibratoire, invite à une plus grande simplicité. Garder comme on garde un trésor, une hygiène impeccable à tous les niveaux, corporel mais aussi alimentaire, en faisant le choix d’aliments simples et qui honorent le corps.

Les choix, vous l’avez peut-être senti, sont plus répercutants. Les effets des choix sont plus grands, que ce soit au niveau du choix de ce qui nourrit et embellit, ou au niveau du choix de ce qui alourdit ou masque. Faites le choix d’offrir tous les masques.

Ne laissez pas des émotions masquer le choix de vos aliments. Laissez le cœur vous guider par le choix d’aliments simples et pleins de vie. Ne laissez pas la léthargie guider vos modes de vie, que la léthargie soit physique, corporelle ou qu’elle soit émotionnelle ou même égotique.

Dynamisez les corps. Dans la simplicité, dynamisez les corps. Cela aussi contribue à aller à la rencontre de l’ouverture. Le plus beau don de cette ouverture est de sortir l’être humain de la passivité. Le plus beau don de l’ouverture est que chaque être ne peut que voir en conscience qu’il ou elle est créateur de l’ouverture, non par des actes héroïques mais par les choix de chaque moment.

Il faut bien qu’une page se tourne. Et pour la tourner pour le collectif de l’humanité, il faut bien qu’un certain nombre d’êtres choisissent de la tourner. La page qui est tournée est celle de la passivité, de la compulsivité, de l’impulsivité, de la médiocrité, car rien n’est plus médiocre que de faire le choix de léthargie à quelque niveau que ce soit.

L’ouverture amène la puissance de la lumière pour baigner les choix conscients d’être lumière. Et cette relation entre les choix conscients et la lumière fait croître la lumière. Cela se doit d’être accompagné éternellement de choix conscients…

L’ouverture implique l’offrande de l’amour au silence et le respect aux noms et aux paroles, pour que le cerveau s’ouvre pleinement, libère les codes des grandes lignes de rayonnement et se reconnecte.

Voyez la beauté du silence. Ecouter le silence comme on écoute un ami qui parle peut-être une autre langue mais le cœur sait décrypter.

Enrichissez-vous des flots de gratitude. Allez chercher la gratitude. Ne jamais attendre d’être submergé. Accueillir en rencontrant.

La Terre s’ouvre. Pour répondre à cette ouverture, chaque être ne peut qu’être bénédiction. La fréquence qui s’harmonise à l’ouverture est la gratitude. Le choix d’être gratitude n’est plus motivé par des circonstances mais est le choix conscient de chaque être qui s’offre à être lumière. L’ouverture s’accompagne d’un choix de clarté d’éternel renouveau, d’éternel autodépassement. Cela est la nature de l’ouverture et de la lumière.

Pour inscrire l’ouverture dans le concret de la réalité qui transforme, chaque être avec passion fait le choix d’être ouverture. Chaque être, jusqu’à ce qu’un nombre suffisant d’êtres faisant ce choix précipitent le collectif à un autre niveau. Le choix restera celui de chaque être.

Ne pas attendre, créer.

La pureté va toujours de pair avec la simplicité, la simplicité avec l’écoute, l’écoute du tout à travers chaque partie dans l’harmonie et le plus grand respect. Le choix est entre soi et soi-même. Il peut transfigurer la réalité terrestre. Faire le choix inconditionnel de pureté, et cela, dans le registre de la joie.

Message de l’Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 1-1-23

L’heure est révolue des transformations progressives.

Glorieux est le choix de l’incarnation. Glorieux est le choix de créer éternellement sa création. La créer depuis la vision la plus vaste. Il est glorieux de rappeler à l’humanité qu’à travers le passage du temps, l’éternité est célébrée. Ainsi, le temps retrouve sa gloire. Ainsi, chaque moment retrouve sa pure beauté dans la simplicité.

Prendre cette année qui s’ouvre comme une page vierge dans laquelle chaque être écrit la gloire de l’éternel simplement. Il n’est pas besoin de grands accomplissements. Avoir l’authenticité d’être simplement la beauté de l’Être. Avoir l’authenticité de tout offrir, de se taire, pour être le jaillissement du chant vivant. Partout, ne contempler que la beauté. Dans chaque moment de maintenant, ne contempler que la beauté. Puisse chaque être entendre cela.

L’heure est révolue des conflits, des critiques, des oppositions, même sous le parapluie de haute spiritualité. L’heure est révolue de séparer l’ombre de la lumière. Il n’est que la lumière et l’ombre n’est pas.

Puisse cela être inscrit au cœur de cette page vierge qu’est l’année qui démarre. Il n’est que la lumière et l’ombre n’est pas. L’apparence d’ombre est créée par le regard que certains mettent sur elle. Le triomphe de la lumière est manifesté par la dévotion de ceux et de celles qui choisissent de ne servir qu’elle, de ne voir qu’elle, de la contempler, de l’incarner, de l’offrir inconditionnellement. Inconditionnellement. Et peu importent les sociétés et les transitions. Peu importe, chaque être crée sa réalité et peut choisir de tout offrir pour incarner la plus sublime, celle de l’union qui va bien au-delà de l’harmonie entre les êtres. L’harmonie entre les êtres est le sous-produit naturel d’une civilisation qui choisit de reconnaître que seul est le Un. Le sous-produit naturel.

L’heure est révolue de transformations progressives. Ce ne peut qu’être un changement total de paradigme. L’heure est venue d’offrir à l’humanité la voie sacrée, une humanité basée sur la réalisation que l’incarnation est adoration. Une humanité qui choisit de ne servir que la beauté en ne regardant que la beauté, partout, en tout, en soi, en l’autre, en les autres, dans les sociétés. Ainsi resplendit la face du Sans-visage à travers chaque face.

Puisse l’humanité, dans ce moment de célébration de l’éternel, se rappeler que chaque être, seul, est créateur de sa réalité. Ce n’est pas la société. Ce ne sont pas les gouvernements. Des milliers ou des milliards de mondes superposés, chacun étant la projection de chaque être. Et chaque être vit dans le monde qu’il crée. Heureux ceux qui choisissent de créer un monde de dévotion, de simplicité absolue, d’hommage. Chaque être qui fait ce choix transfigure les mondes de tous les êtres. Puisse l’humanité comprendre cela.

Le rayonnement d’un être qui choisit d’être l’ouverture infinie, l’hommage vivant dans la transparence et la simplicité totale, le rayonnement de cet être transfigure tous les mondes. Il est vrai, chaque être crée sa réalité. Il est une création qui est don pour chaque parcelle. Puisse l’humanité choisir de faire ce don. Puisse l’humanité choisir inconditionnellement de faire de cette année un hymne à la joie…

Ainsi, naturellement, sans même devoir mettre son attention sur des détails, transfigurer les milliards de mondes car chaque être choisissant de vivre la voie sacrée, la voie de l’unité, offre un don d’une puissance infinie à tous les mondes, simplement par son rayonnement, la plus grande puissance de transmutation et de transfiguration.

Puisse l’humanité choisir inconditionnellement d’être le chant vivant de la paix. Le chant peut être chanté dans le silence. S’il n’est accompagné d’aucun contre-signal, il a la puissance d’un raz-de-marée. Puisse l’humanité avoir l’humilité de se rappeler sa puissance.

Message de l’Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 31-12-22

Maintenant est le temps.

Porter la vision de la Terre lumière, une civilisation de bienveillance, de bonté, de jaillissement de joie. Maintenant, sans qu’il soit besoin d’une grande transition, porter la vision de chaque être faisant le choix gratuit d’honorer la bonté, d’honorer la bienveillance, d’offrir pleinement au cœur d’infini toutes ces habitudes de jugement, de critique, de condamnation. Porter la vision de chaque être soutenant pleinement chaque être, sans aucun jugement. Porter la vision de la Terre chantant le chant de la fraternité du vivant. Et chaque être participe à ce chant, et chaque être s’offre pleinement à ce chant.

Porter la vision de l’humanité qui retrouve le respect pour la vie et le respect pour toutes les formes de vie. Porter la vision de l’humanité qui se souvient que les animaux sont des maîtres, que la nature est un maître, que les planètes sont des maîtres. Porter la vision de l’humanité qui se souvient que chaque être est enfant de l’univers. Porter la vision de l’humanité qui s’offre pleinement à la bienveillance, à la pure bonté.

Et voyez, cela suffirait pour dépolluer totalement la planète. Il n’est pas nécessaire de trouver des solutions. Il n’est pas nécessaire de chercher des moyens. Il suffit que chaque être choisisse la bonté, la bienveillance. C’est cela qui fait changer la fréquence de la Terre. C’est cela qui fait changer la vibration de l’univers et tout rentre dans l’ordre.

C’était bien cela l’intention de Gaïa lorsqu’elle s’est offerte pour recevoir la vie humaine. Une planète de joie. Une planète sur laquelle chaque être honore chaque être. Une planète où la simplicité est adorée. Une planète où chaque être choisit d’écouter et de parler le langage du cœur.

Il n’y a pas de secret perdu. Il n’y a pas de trésor perdu. Il n’y a que ce choix à faire pour chaque individu, d’honorer la bonté et la bienveillance.

Vous le savez, ils sont nombreux ceux qui ont marché à la surface de la Terre, accomplissant des miracles. C’est ce qui a rendu cela possible, une absence totale de jugement, de critique, le regard uniquement rivé sur le beau et le bon.

Et si maintenant était le temps ? Et si maintenant, 2023, était le temps pour l’humanité de choisir cela ? Savez-vous la puissance d’un être qui choisit cela ? Lorsqu’un être choisit de s’abstenir totalement de critique, de jugement, lorsqu’un être choisit de ne regarder que le beau et le bon, que le divin et le simple dans chaque forme de vie, sa fréquence vibratoire se transforme tellement qu’il devient le feu de l’amour qui embrase la Terre. Et si maintenant était le temps ?

Dites cela à l’humanité parce que maintenant est le temps. La transition n’a pas besoin d’être longue ni compliquée. Il n’y a pas de solution à trouver. La fréquence du feu de l’amour d’un être qui choisit d’être pleinement offert au silence, à la bienveillance, à la bonté, à la créativité, et qui choisit par dévotion de ne regarder que la beauté en lui et dans toute forme de vie, sa fréquence s’élève tellement instantanément que cet être entraîne avec lui ou elle l’humanité, la Terre, la création.

Il est vrai, la planète est planète de libre arbitre, et chaque être a le choix. Mais l’humanité n’existe pas. La création n’existe pas. La société n’existe pas. Il n’est que chaque être qui fait le choix de projeter une création à l’image de son intention la plus profonde.

Maintenant est le temps. Le plus beau don que l’on puisse faire à la création, à la Terre, à la relation entre la Terre et la création, est ce choix de s’offrir pleinement à l’harmonie, au silence, à la joie simple de retrouver cette simplicité du quotidien d’êtres qui sont plénifiés parce qu’ils choisissent de ne regarder que la beauté, et qu’ainsi tout est émerveillement. Ainsi ces êtres embrasent la Terre.

Message de Melchisédech reçu par Agnès Bos-Masseron le 29-12-22

La Lune est-elle artificielle ?

Si la Lune était artificielle, la Terre ne serait pas. La Lune, bien plus qu’une planète, un océan de nectar. La Lune, bien plus qu’une planète, un être. La Lune régissant les rythmes, dont le regard est relation. De ce regard, jaillit le rythme des marées. De ce regard, jaillissent des torrents de tendresse, de pureté, de nectar.

Traverser tous les points de vue et rencontrer l’Être.

Primordial le don de la Lune dans l’énergie orchestrant les naissances. Primordiale la relation entre la Lune, le Soleil et les autres planètes. Pleine de sa propre nature.

N’écoutez pas ceux qui défigurent. Nourrissez-vous de la relation directe.

Message de l’Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 28-12-22

L’année nouvelle est porte ouverte.

Une année se fond, une année s’ouvre, l’éternité est honorée et célébrée. Le temps semble appartenir à l’humanité, la nature ne connaît que l’éternité. Et pourtant, de tous les points de l’espace, de toutes les galaxies, dans tous les règnes, ce moment d’éternité est célébré.

Au-delà du temps marqué par les calendriers humains, il est une convergence d’énergie. Presque l’effondrement de la création qui dans un moment de grâce se repose dans sa source. Et de là jaillissent de nouveaux courants de vie, car alors que tant croient que l’année qui s’ouvre ressemble à l’année qui vient de s’écouler, très peu sont conscients des nouveaux courants de vie offerts à l’aurore de chaque année.

Ceux qui ont la conscience de cela honorent et choisissent de recevoir les courants de vie, de les laisser les traverser, de s’offrir pleinement à eux pour que l’année nouvelle soit non la réplique de l’année qui vient de s’écouler mais le jaillissement du meilleur de soi, le jaillissement de l’hommage à la perfection qu’est sa propre incarnation.

On est bien loin là de l’ego qui voudrait bien faire ou mieux faire. Nous parlons là de l’hommage le plus profond de l’être qui s’harmonise au courant de vie, vous savez, comme les surfeurs habiles dans vos océans qui prennent la vague sans se battre avec elle, la chevauchant, se fondant dans cette énergie infinie pour danser la danse de la vie.

Aucune année n’est semblable à aucune autre, et particulièrement dans le temps de maintenant. L’année nouvelle est porte ouverte. Et la question n’est pas de savoir si l’humanité saura percevoir que la porte est ouverte car l’humanité n’existe pas. Il n’est qu’un seul être, chaque être qui projette sa création.

A chaque être le choix, et ce choix est sacré et gratuit. Sacré car rien n’est plus sacré pour la vie que d’honorer les courants de la vie. Se laisser entraîner par eux pour grandir, et grandir de son propre infini. Gratuit, car quel que soit le choix de l’être, la vie éternellement grandit, se magnifie, s’embellit, se glorifie, à l’image de celui et de celle, à l’image du tout qui éternellement s’autodépasse et joue à merveille le jeu de la perfection.

Il ne s’agit pas simplement de créer une société un peu meilleure, un peu plus humaine, un peu plus fraternelle. Il s’agit de s’offrir pleinement à l’infini de l’amour qui est la vie. Et s’y offrant pleinement, on la sert. Et s’y offrant pleinement, on se reconnaît en elle. La simplicité de la grandeur, car la grandeur est simplicité. Il ne s’agit pas d’une société qui se marginalise, croyant être spéciale ou croyant acquérir quelque pouvoir, il s’agit d’une humanité qui se normalise et réalise l’unité de tous les êtres, de tous les règnes au service de la vie.

Message de l’Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 13-12-22

Le fossé se comble entre le concret de la matière et la lumière.

Vous le savez, la période qui s’ouvre est unique en intensité, intensité de dons, de rayonnement, d’ouverture. Dans ce qui semble être le temps linéaire, cette transition d’une année à l’autre s’offre comme un tremplin. Plus que jamais, ce tremplin invite à des sauts cosmiques.

L’ouverture est très réelle pour ceux qui choisissent de s’y aligner. Une autre réalité se dessine, une autre humanité qui s’installe dans sa souveraineté, sous-produit de l’acceptation totale à être dévotion. De par cette ouverture, les dons de rayonnement seront d’autant plus intenses. Durant cette période, il est beau de se regrouper pour recevoir les dons et être le don vivant.

L’heure est venue pour l’humanité d’actualiser ses rêves. Cela passe par une application claire et déterminée du choix conscient d’honorer l’évidence que Je Suis l’éternelle lumière, une évidence qui s’honore non dans l’abstrait de la conscience mais aussi dans le concret de chaque acte, de chaque pensée, de chaque parole.

L’ouverture est bien réelle. Et simultanément à cette ouverture, doivent être offertes toutes les habitudes de fonctionnements compulsifs. S’aligner à l’évidence d’être lumière s’accompagne d’un comportement diamétralement opposé aux comportements compulsifs, un comportement de choix conscient et joyeux, sans effort. Choisir d’honorer la partie la plus noble de soi, et l’honorer dans le concret de chaque geste, de chaque parole, de chaque pensée, de chaque acte. L’honorer dans sa relation au grand magnifique silence.

Je Suis l’éternelle lumière. L’affirmation peut emplir l’aura. Et l’affirmation se doit de résonner au cœur des paroles, des pensées, des actes. Le comportement est la résonance de l’affirmation. La résonance est la vibration même de l’affirmation.

Bien comprendre le sens profond d’être cocréateur de sa réalité. En harmonie avec l’éternel créateur de tout, en résonance avec son intention et sa manifestation, cocréer sa réalité dans sa version la plus belle et la plus noble.

Je Suis éternelle lumière implique Je Suis le choix éternel d’exprimer, d’incarner, de rayonner, d’être éternelle lumière. L’heure est à l’incarnation concrète de l’affirmation dans la structure du corps, de la vie extérieure, de la société, dans la structure de la Terre, du cosmos.

Je Suis éternelle lumière. De l’affirmation, jaillit la création et ce jaillissement est choix conscient. Chaque être façonne sa réalité, non seulement avec cette intention que l’on pourrait nommer globale mais aussi avec chaque parole, chaque pensée, chaque mouvement. Tout est sacré. Tout a une réverbération, une résonance, une répercussion. La civilisation de lumière est civilisation de choix conscient, de don conscient de sa réalité intérieure, offert à chaque parcelle de création.

Nous vous l’avons dit souvent, le rythme se doit d’être ralenti. L’humanité ne peut passer sa vie à courir après des chimères. L’invitation est de poser chaque pas pleinement, consciemment, dignement.

L’ouverture est très réelle. On est bien loin de ce concept de l’ouverture apportée sur un plateau d’or sans aucune participation ou cocréation. L’être faisant le choix conscient d’honorer “Je Suis l’éternelle lumière” imprime cette réalité à travers chaque geste ou chaque immobilité, chaque parole ou chaque silence, chaque pensée, chaque action. Et la réalité ou la magie de l’actualité de maintenant est ce fait d’imprimer cette intention la plus noble et la plus subtile, la plus vaste, la plus simple, Je Suis l’éternelle lumière, et la création n’est que cela. La puissance du choix conscient initie la précipitation de cette réalité.

S’unir pour cocréer une empreinte de pure puissance qui se réverbèrera dans l’aura de chaque être.

Voyez, on est bien loin d’une humanité infantilisée qui attendrait d’être sauvée. Il est vrai, certains ont montré la voie. Ils ont surtout montré l’art d’être créateur et cocréateur, l’art de précipiter la vision la plus vaste pour l’humanité, la Terre et la création.

Transformer la Terre en temple, c’est offrir une perle de dévotion dans chaque pensée, dans chaque parole, dans chaque geste, dans chaque immobilité, dans chaque silence, simplement à travers la simplicité du quotidien. C’est ainsi que la Terre redevient le temple.

L’heure approche de cette célébration cosmique de la naissance de l’éternel non-né. Plus que jamais, l’infinie puissance des dons dans ce qui semble être un moment et qui est l’éternité de la grâce. Il est beau de se préparer à vivre cela dans la pleine conscience. Il est beau de se rassembler pour porter la vision de la Terre temple.

Vous le sentez n’est-ce pas, le temps se tisse toujours plus intensément dans l’intemporel et l’éternel. L’année semble glisser, aller vers sa fin, l’éternel resplendit plus que jamais, n’est-ce pas ? Peu importe si le temps s’accélère ou se ralentit tant qu’il se pose dans l’éternel. Garder le regard rivé sur l’éternel.

Dans la simplicité de son quotidien, choisir de cocréer la réalité de la Terre temple. La préparation est dans l’alignement. S’aligner avec une passion toujours plus grande et donc une détermination toujours plus puissante à l’énergie la plus cosmique qui est ce que Je Suis.

L’alignement, vous le savez, est dans le concret de chaque moment, et particulièrement dans le concret de la structure physique. Veillez sur elle avec dévotion comme l’on veille sur le corps du divin, car c’est bien cela, n’est-ce pas ? Le corps physique est divin.

La beauté de l’ouverture est que le fossé est comblé entre le concret de la matière et la lumière. La dévotion crée le pont et permet la fusion.

Dans cette période de transition, être don de dévotion. Porter la vision c’est l’inscrire dans chaque phase du concret de son incarnation.

Message de l’Être reçu par Agnès Bos-Masseron le 24-8-22

Ce n’est pas la situation qui cause le ressenti, mais la fréquence à laquelle on s’harmonise.

L’amour est la clef maîtresse, et l’art de la relation ne peut qu’être basé sur l’amour. Ce n’est jamais l’amour de l’autre, mais l’amour de l’amour. L’autre n’est que la projection de soi. A aimer l’amour, on aime l’amour en l’autre, sans aucun jugement. A aimer l’amour, à travers sa vie on ne voit que l’amour.

Car de par la loi des vibrations, tout vibre à différentes fréquences. L’on choisit de s’harmoniser à telle ou telle fréquence. Mettant l’attention sur n’aimer que l’amour, on choisit de s’harmoniser à la fréquence la plus noble et la plus haute. Ainsi, l’on ne rencontre que l’amour à travers chaque rencontre. Pour la même situation, quelqu’un qui choisirait de s’harmoniser à une autre fréquence, celle d’émotions peut-être, rencontrerait cette même émotion ou son opposé dans la rencontre avec l’autre. Ne jamais croire que ce choix est compulsif. Tout choix est choix.

Ramener tout ressenti, toute perception, à la relation entre soi et soi-même pour la guérir par la puissance de l’amour. Ce simple regard. Tu exprimes un ressenti de souffrance. Je Suis l’amour qui guérit. Tout est bienvenu, tout ressenti. Je Suis l’amour qui guérit.

Je ne saurais choisir de justifier un ressenti de souffrance par telle ou telle situation, car cela est erroné. La même situation peut être vécue selon telle ou telle fréquence. La même situation peut être vécue comme étant sublime ou comme étant souffrance. Ce n’est pas la situation qui cause le ressenti, mais la fréquence à laquelle on s’harmonise. Et ce n’est pas le corps de souffrance qui détermine la vibration à laquelle on s’harmonise, sauf si on lui laisse les rênes. Laisser les rênes au corps de souffrance, revient à laisser les rênes à un cheval incapable de tirer la charrette. Cela ne peut mener nulle part. Le seul cheval permettant de tirer la charrette est l’amour. L’amour est partout et tout. Cela est su abstraitement. L’incarnation est de traduire cela dans le concret du quotidien.

Sortir radicalement de toute habitude de jugement. Le jugement n’est qu’une errance mentale, causée peut-être par le corps des émotions ou le corps de l’ego. Cela reste une errance mentale. Être la pleine conscience de ce qui invite à être guéri et le guérir parce que Je Suis l’amour que Je Suis, parce que seul est l’amour, parce que seul est cela.

L’on ne peut abstraire l’amour d’aucune parcelle de création. Il est la nature, la substance, la réalité. Choisir par choix conscient d’entrer en relation avec soi-même avec une telle intensité d’amour jusqu’à ce que la création ne reflète plus que le visage de l’amour. Cela est l’art de l’incarnation.

Source : anandamath.org



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