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« Mr Eazi refuse des contrats alléchants avec des rappeurs de renom pour préserver sa liberté créative »

Dans le monde de la musique, les opportunités de signer des contrats avec des maisons de disques sont souvent considérées comme des opportunités en or pour les artistes en herbe. Cependant, il y a des moments où certains artistes décident de refuser ces offres alléchantes dans le but de préserver leur liberté créative. C’est exactement ce que le chanteur et entrepreneur nigérian, Mr Eazi, a fait lorsqu’il s’est vu offrir des contrats par Olamide, un rappeur nigérian de renom, et Abou « Bu » Thiam, le frère cadet du célèbre chanteur américain Akon et vice-président exécutif de Columbia Records.

Dans une récente interview sur le podcast Afrobeats Intelligence animé par Joey Akan, Mr Eazi a révélé qu’il s’était vu offrir des contrats de la part d’Olamide et de Bu Thiam au début de sa carrière musicale, mais qu’il les avait tous deux déclinés. Selon lui, à l’époque, il n’avait pas encore compris ce qu’il faisait et il voulait avant tout préserver sa liberté artistique.

Lors de l’épisode du podcast, Mr Eazi a raconté son expérience : « Je me rappelle être allé à ‘Ghana Meets Naija’ au Ghana. C’est là que j’ai rencontré Olamide. Il a essayé de me signer sur son label. Il m’a fait une offre. Quelqu’un d’autre avait également essayé de me signer. Bu [Abou Thiam], le frère d’Akon, était la première personne à avoir essayé de me signer. »

« Mais j’ai décliné parce que je n’avais même pas compris ce que je faisais. C’était trop tôt pour signer. Je n’ai donc pas signé avec Bu. Quand Olamide m’a proposé un contrat, je savais que je n’avais pas encore complètement compris le business ou ce que je faisais, donc j’ai décliné. Tout allait si vite. Une chose que je savais, c’était que je voulais ma liberté. »

Cette décision de refuser ces offres n’a pas été prise à la légère par Mr Eazi. Il a préféré prendre le temps de comprendre l’industrie musicale et de développer son propre style avant de s’engager dans un contrat avec une maison de disques. Cette décision a finalement porté ses fruits, car Mr Eazi est rapidement devenu un artiste à succès, avec plusieurs hits à son actif et une réputation établie dans l’industrie musicale afrobeat.

Cette histoire est un rappel que parfois, prendre le temps de se développer en tant qu’artiste et de comprendre le business peut être plus important que de signer un contrat précipitamment. La liberté créative et artistique est une valeur inestimable pour de nombreux artistes, et ceux qui ont la patience d’attendre et de construire leur propre chemin peuvent souvent atteindre des sommets encore plus élevés. C’est un exemple inspirant pour les artistes en herbe qui cherchent à se faire une place dans l’industrie musicale compétitive.

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