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🌊 Job dating : et si vous partiez travailler en Antarctique ?

Mardi 17 octobre 2023

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  Toute l'actu locale

Face à la mer

Fenêtre sur littoral

Bonjour à toutes et à tous,

Au sommaire, cette semaine :


- Un sanglier mort par infection retrouvé, dimanche, sur une plage d'Hillion

- Ces pêcheurs s'inquiètent de l'avenir : tout augmente, sauf les prix de vente

- Des promeneurs sauvent un dauphin échoué aux Sables-d'Olonne

- Stratégie nationale pour la mer et le littoral : l'avis des Français sollicité

- Job dating à Brest : et si vous partiez travailler en Antarctique ?

- Les côtes de Vendée ont souvent été attaquées Par Les Vikings au IXe siècle


Bonne lecture,

Florent Servia

Journaliste actu.fr

Des nouvelles du front

🐗 Algues vertes ? Le corps d'un sanglier a été trouvé sur la plage de la Grandville à Hillion (Côtes-d'Armor), dimanche. La découverte remue de mauvais souvenirs à Hillion, où 36 sangliers avaient été découverts morts asphyxiés, en 2011, après avoir inhalé de l'hydrogène sulfuré, le gaz toxique degagé Par Les algues vertes. D'autant que les premiers résultats de l'autopsie réalisée hier annoncent une mort d'origine infectieuse. Des analyses de sang doivent encore être réalisées. Le Penthièvre


🎣 "Océan de charges". Les pêcheurs du Cotentin s'inquiètent pour leur avenir. Face à la conjoncture économique liée à l'inflation, ils déplorent que "tout augmente (...) sauf leur "prix de vente". Le matériel et, bien sûr, le gasoil. Même l'aide européenne de 20 centimes par litre, jusqu'au 4 décembre, est une "goutte d'eau dans un océan de charges", déplorent Antoine et Aurore Papillon, patrons du Mémère Marie, à Barfleur. Yann Delaplace, patron du Pénélope, dit devoir travailler plus, seulement pour "compenser un surcoût de 20 000 € de carburant en un an d'activité". La Presse de la Manche


🐬 Les gestes qui sauvent. Des promeneurs ont contribué au sauvetage d'un dauphin, mercredi dernier, sur la Grande-Plage des Sables-d'Olonne. Après l'avoir aperçu "sur le flanc", les promeneurs ont maintenu "l'animal humide afin qu'il puisse ne pas s'affaiblir", après avoir tenté à plusieurs reprises de "l'emmener le plus loin possible [dans l'eau]", raconte Valentin, l'un d'entre eux. Un autre témoin, sur la plage, a prévenu les pompiers et les services maritimes. Les secours sont intervenus rapidement et ont réussi le sauvetage. Le Journal des Sables

Le chiffre

23

C'est le nombre de participants à une consultation publique sur la stratégie nationale pour la mer et le littoral.

"Cadre de référence de la politique maritime française", une nouvelle version de la Stratégie nationale pour la mer et le littoral (SNML), pour la période 2023-2029, est en cours d'élaboration et fait l'objet d'une consultation publique depuis le 25 août 2023.


Jusqu'au 27 octobre, chacun est donc invité à partager son avis. Pourtant, au 5 octobre, la consultation ne comptait que 23 participants. Le public est consulté sur les "quatre grandes priorités du projet" : la neutralité carbone, la biodiversité, l'équité sociale et l'économie, rapporte La Presse de la Manche

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La vie à la mer

Job dating à Brest : et si vous partiez travailler en Antarctique ?

C'est peut-être l'opportunité d'une vie : chaque année, l'Institut polaire français Paul-Émile Victor recherche du monde pour partir travailler en Antarctique et dans les îles subantarctiques.


Il organise un job dating, jeudi, dans deux jours, aux ateliers des Capucins, à Brest, en marge de l'exposition Regards Antarctiques.


Basé à Plouzané, l'Institut polaire français met en œuvre les différents moyens (humains, logistiques, techniques…) nécessaires au développement de la recherche scientifique française dans les régions polaires et subpolaires.


Sur place, ce sont environ 200 saisonniers ou hivernants répartis sur les bases qui permettent à plus de 200 chercheurs de travailler sur le terrain.


"Les saisons sont inversées. Pour l'hivernage, nous recrutons pour des départs programmés dans un an, pour une durée de 12 à 15 mois. D'octobre à février, l'été, nous aurons besoin d'autres personnels techniques", indique Anne Savary, chargée de recrutement. 


Plombiers, responsables techniques, chef cuisinier, scientifiques, menuisiers, couvreurs… De nombreux profils sont recherchés. "Nous recrutons environ 80 personnes par an pour l'hivernage", Explique Anne Savary.


Le recrutement se déroule en plusieurs étapes : un entretien en visio, puis un autre au siège. Les sélectionnés doivent passer une visite médicale complète, ainsi qu'un entretien avec un psychologue.


Les conditions de vie sont difficiles sur place, où il peut faire jusqu'à -80°. "Il faut savoir vivre en collectivité, explique Anne Savary. Ceux qui restent en hivernage seront huit à neuf mois en isolement total, sans voir leurs proches".


D'anciens hivernants seront présents lors de cet après-midi pour raconter leur expérience de la vie sur une base, rapporte Côté Brest.

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Le saviez-vous ?

Les côtes de Vendée ont régulièrement été attaquées par les Vikings au IXe siècle 

Débutées en 817, les invasions vikings, des "Northmans" au départ saisonnières, ont duré un siècle. Au IXe siècle, les Vikings ont été régulièrement présents sur les côtes de Vendée.


En première ligne, Bouin, une île à l'époque, et l'île de Noirmoutier. *Les îles de la côte vendéenne deviennent des bases arrière pour lancer les raids.


Les Sables-d'Olonne, les Marais des Olonnes, Talmont-Saint-Hilaire, La Tranche-sur-Mer sont tombés sous leurs raids dévastateurs.


Avec leurs bateaux légers et facilement maniables, nommés les Langskips, ils remontaient les rivières à l'intérieur des terres vendéennes.


De là, ils recherchaient les richesses, qui à cette époque, se situaient essentiellement dans les églises et les établissements monastiques.


En 2012 et 2013, des pièces de bois ont été découvertes dans les marais d'Olonne-sur-Mer, restes d'un moulin à vent construit, semble-t-il, par les Vikings au Xe siècle.


Si leur réputation de barbares les poursuit à travers le temps, ils étaient également des marchands qui venaient de Scandinavie pour faire des échanges.


"Ils laissaient ces pierres sur place en échange de sel. Les moines du monastère de la Bauduère ont utilisé ces pierres pour monter des murs autour des marais, pour stabiliser les bords. C'est ainsi qu'on peut y voir du granit rose, qu'on ne trouve pas ici", explique Jean-Charles Dubois, un passionné d'Histoire, au Journal des Sables.

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