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Qu'est-ce qu'on apprend ?

Si vous avez passé la journée en paix

Nobel de la Paix : le prix est attribué à Narges Mohammadi (Iran), ingénieure de formation devenue journaliste et activiste pour "son combat contre l'oppression des femmes en Iran et sa lutte pour promouvoir les droits humains et la liberté pour tous"

Justice : Nicolas Sarkozy doublement mis en examen pour "recel de subordination de témoin" (= Ziad Takieddine) et "association de malfaiteurs en vue de commettre une escroquerie en bande organisée" dans l'affaire libyenne

Essence : Total menace d'arrêter sa ristourne à 1,99€/litre max si les députés adoptent la prolongation de la taxe sur les "superprofits" des pétroliers et énergéticiens mise en place l'an dernier

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Le prix d'un Nobel

S'engager dès ses études et ne pas exercer son métier d'origine pour se consacrer au combat pour la liberté. Etre arrêtée pour la première fois en 1998 à 26 ans, puis 13 fois depuis. Alors que son mari et ses enfants choisissent de s'exiler en France afin de garantir leur sécurité, rester en Iran pour continuer à lutter. Etre emprisonnée depuis 2021 – pour 10 ans – et être également condamnée à 154 coups de fouet.

Lire son portrait sur CNN →

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Le Fiorentino de la semaine : Les Français épargnent toujours

"Le taux d'épargne continue à progresser en France. Il atteint le chiffre hallucinant de 19%. Or, en théorie, quand l'inflation monte, le pouvoir d'achat baisse et les ménages doivent puiser dans leur épargne pour maintenir leur pouvoir d'achat. Dans la zone euro, le taux d'épargne est sous pression. Il n'est plus qu'à 12,5%, et chute lourdement depuis 2021, alors qu'en France, il a fortement progressé. Alors, cet argent, d'où vient-il ? Il vient de l'Etat. Oui de l'Etat. 

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En octobre on va au théâtre

On s'offre un pur plaisir théâtral avec Un chapeau de paille d'Italie, monument du vaudeville, dont le rôle principal semble avoir été écrit par Eugène Labiche (en 1851 quand même) pour l'irrésistible Vincent Dedienne ! Ponctuée par la musique électrisante de Feu! Chatterton et par des intermèdes burlesques chantés par une troupe de comédiens formidables, l'éreintante et comique journée de noces de Fadinard est d'une jubilation totale.

"À la manière d'une Annie Ernaux qui aurait mangé Florence Foresti", Chloé Oliveres livre, seule en scène, une autofiction de quarantenaire biberonnée aux années 90 et tiraillée entre sa tendance midinette et son aplomb de féministe qui s'ignore. Quand je serai grande, je serai Patrick Swayze nous replonge avec délice dans les étés à rallonge de l'adolescence avec l'excitation d'un avenir fantasmé et nous embarque jusqu'à aujourd'hui dans le destin personnel de la comédienne.

On trouve aussi l'inspiration dans le récit passionnant (en 1h10) de la vie extraordinaire de Joseph Kessel, écrivain, grand reporter, aventurier aux quatre coins du monde durant toute sa vie ou presque. Franck Desmedt l'incarne magistralement au théâtre dans toute sa flamboyance et sa grande qualité d'observateur et témoin historique infatigable du monde. À voir absolument.

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C'est vendredi et vous l'avez bien mérité

Quoi ? Qu'est-ce qu'on apprend ? Qu'une certaine Chloé Oliveres aspirerait à devenir Patrick Swayze (cf les reco théâtre de notre copine Valérie, plus haut) ! Holà Chloé, pas si vite, nous aussi on veut devenir le prof de danse de Dirty Dancing, le surfer-braqueur de Point Break… et surtout, surtout, surtout, l'apprenti potier de Ghost. Et nous, cette envie, ça nous a pris en 1990, devant précisément cette scène.

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La bande son du week-end : The Coral – Sea Of Mirrors

Admettons-le, au concours de la classe musicale et vocale absolue, Lee Hazlewood a placé la barre à une hauteur bien au-delà de l'olympisme (avec ça par exemple)… vous imaginez donc notre émotion lorsque cette semaine, aux premiers pas sur la piste de ces Anglais nés pas loin de Liverpool, nous reconnûmes le son de l'immortel cow-boy californien. Nous les regardons tourner dans leur sillon depuis. Et enchaîner les records.

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En partenariat avec Nespresso

Essayez : what else ?

Les chiffres sont là : le plus gros impact CO2 sur le cycle de vie d'une tasse de café réside dans les phases de culture et de transport du café vert. Dès lors, limiter l'impact carbone de son café c'est justement utiliser la dose exacte de café nécessaire pour une tasse. Ce que le système Nespresso permet depuis 35 ans… tout en continuant d'innover avec ses nouvelles capsules en papier compostables à la maison.



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