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🌊 Un plongeur découvre une Rolex encore en état de marche au fond de l'eau

Mardi 19 juin 2023

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  Toute l'actu locale

Face à la mer

Fenêtre sur littoral

Bonjour à toutes et à tous,

Au sommaire, cette semaine :


- Un plongeur découvre une Rolex au fond de l'eau encore en état de marche

- Une étude accablante pour les ports de Marseille et du Havre

- "L'inconnu du sable", la mystérieuse épave découverte sous une plage

- Cet été, il faudra réserver pour aller sur l'île de Bréhat

- En Bretagne, on peut se former au métier de scaphandrier

- Pourquoi les marins utilisent-ils le sifflet de gabier ?


Bonne lecture,

Florent Servia

Journaliste actu.fr

Des nouvelles du front

"Pour l'éternité". D'ordinaire, ce sont plutôt des ailerons de planches de surf et des leurres de pêche que Matt Cuddihy extrait du fond de l'océan. Début juin 2023, alors qu'il faisait du snorkelling pour ramasser des déchets à Noosa, au Nord de Brisbane, sur la côte Est de l'Australie, le surfeur a découvert une montre Rolex en état de marche. Ce modèle, un Submariner réf. 5513, selon le site spécialisé dans les montres Fratello, oscille entre 15 000 et 20 000 euros. Récemment, Matt Cuddihy avait déjà trouvé une Apple Watch, dont il avait retrouvé le propriétaire grâce à une publication sur Instagram. actu.fr


🏭 Souffre marin. L'ONG "Transport et Environnement" a publié une étude sur la pollution par les bateaux de croisière. Le port de Marseille est le plus touché, suivi de celui du Havre. En 2022, les 75 bateaux de croisière qui ont accosté dans le port de Marseille ont émis deux fois plus d'oxydes de soufre (SOx) que l'ensemble des voitures immatriculées dans la ville. Par comparaison, la même année, les 218 navires de croisière situés en Europe ont émis autant de SOx qu'un milliard de véhicules. L'oxyde de soufre provoque des risques de maladies respiratoires et cardiovasculaires. Actu Marseille


Marchand de sable. "L'inconnu du sable" un documentaire de 15 minutes, paru en mai, tente d'élucider l'histoire d'une épave ensevelie dans les dunes de la côte océane du Bassin d'Arcachon. En juin 2020, David, un promeneur, tape le pied dans un très gros clou et un morceau de bois dont il ne voit pas le bout. Une recherche par géoradar révèle la présence d'une épave sous terre, découverte confirmée par les archéologues de la Direction régionale des affaires culturelles (Drac). Il s'agit d'un navire de "200 à 300 tonneaux, entre 12 et 15 mètres, [qui] se serait échoué entre 1770 et 1810", relate Thierry Sauzeau, le professeur spécialisé en Histoire maritime que l'on suit dans le documentaire. Actu Bordeaux

Le chiffre

4 700

C'est le nombre de visiteurs autorisés, cet été, sur l'île de Bréhat, du lundi au vendredi, entre 8h30 et 14h30

Ces derniers mois, nous vous rapportions la volonté de la commune de l'Île de Bréhat (Côtes d'Armor) d'instaurer un quota de visiteurs pendant la saison touristique.


C'est officiel depuis ce mercredi 14 juin, Olivier Carré, le maire de l'île de Bréhat a signé l'arrêté mettant en place une régulation des touristes aux périodes les plus fréquentées.


Cette mesure ne s'applique pas aux Bréhatins permanents, aux résidents secondaires ni aux personnes travaillant sur l'île.


Recevoir "Pas plus, mais mieux", c'est le credo du maire de Bréhat, premier site protégé de France en 1907 et qui, selon Olivier Carré est en péril.


Il faut dire que "l'île aux fleurs", véritable petit paradis, connaît une fréquentation annuelle croissante qui avoisine les 400 000 visiteurs depuis plusieurs années ; avec des pics de 6000 personnes certains jours de grosse affluence pour une superficie de 3,09 km2.


Au final, des chemins très dégradés, et 30% de visiteurs mécontents de leur séjour dans ces périodes, rapporte La Presse d'Armor

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La vie à la mer

En Bretagne (et en Paca), on peut se former au métier de scaphandrier

À Lorient (Morbihan) en eau saline et à Trébeurden (Côtes-d'Armor) en eau douce, il est possible d'obtenir le titre professionnel de scaphandrier travaux publics.


Deux des quatre centres de formation au métier de scaphandrier sont situés en Bretagne, à Trébeurden (Côtes-d'Armor) et Lorient (Morbihan). Les deux autres sont à Marseille et Fréjus.


A Lorient, le centre est basé dans une alvéole de l'ancienne base des sous-marins. Depuis 2015, 99 scaphandriers (dont trois femmes) sont sortis de cette formation dans la ville aux cinq ports. La plupart ont trouvé un emploi.


La formation se déroule sur 20 semaines avec deux semaines en entreprise. Pour la rejoindre, il faut quelques pré-requis : "une expérience dans le bâtiment, un niveau 3 de plongée et passer au préalable une visite médicale de contrôle de la sphère ORL", précise Elisabeth Cabresin.


Les débouchés sont nombreux dans des métiers en tension : inspection de carène, de station d'épuration, de centrale hydraulique, d'écluse, de cuve de soupe dans l'agroalimentaire, mais aussi de la soudure, de la topographie et de l'archéologie sous-marine.


À Lorient, "ils travaillent notamment la soudure et réalisent des relevés topographiques", indique Elisabeth Cabresin. Les élèves doivent être capables de descendre à 50 mètres, avec un casque de plus de 20 kilos explique Actu Morbihan.

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Le saviez-vous ?

Pourquoi les marins utilisent-ils le sifflet de gabier ?

Le sifflet de gabier est utilisé par les marins pour communiquer. Il sert à donner des ordres à l'équipage.


Tous les membres, même le cuisinier, doivent être formés à reconnaître les sons du sifflet, puisque chaque note représente un ordre différent.


"Il y a entre 150 et 250 sons pour autant d'instructions", explique Placido Alcantara Mundo, chef de manoeuvre du navire mexicain Le Cuauhtémoc, présent à l'Armada de Rouen la semaine dernière.


Aujourd'hui en acier, le sifflet était autrefois en or ou en argent, selon le rang de celui qui le portait. 


Chaque membre de l'équipage est formé à reconnaître chaque son du sifflet de gabier. Le chef de manœuvre explique qu'il faut environ trois semaines d'entraînement (théorique et pratique) pour se familiariser avec, et au moins trois mois pour reconnaître la quasi-totalité des ordres.


Le bruit émis est strident, car il doit être entendu, même en cas de fortes tempêtes, par l'ensemble des marins présents sur le navire. Ce moyen de communiquer est un langage universel dans la marine, "même s'il existe des variations selon les équipages", rapporte 76actu

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La mer à voir



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