| Chère lectrice, cher lecteur, Les nuages s'accumulent au-dessus de la candidature de celui qui était vu comme le favori républicain pour l'élection de novembre 2024. Il y a six mois, le gouverneur de Floride Ron Desantis était réélu triomphalement et Donald Trump dans les cordes après les résultats décevants pour son camp lors des élections de mi-mandat. Six mois, une éternité en politique, durant lesquels les doutes sur la stature nationale de Ron DeSantis se sont renforcés. Donald Trump, lui, réussissait une performance dans laquelle il a toujours excellé: faire parler de lui. Les Etats-Unis se dirigent-ils tout droit vers une revanche Biden-Trump dans une année et demie, un scénario dont une majorité d'Américains ne veut pas? Le chemin est encore long et Ron DeSantis n'a pas dit Son Premier Mot, officiellement, il n'est toujours pas candidat. Bonne lecture! | | – Simon Petite, San Francisco |
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Dans le monde Le 1er Mai français marqué par un léger virage sur les retraites Ce lundi, la mobilisation a été présentée par les syndicats comme historique pour une Fête du travail, mais elle marque surtout un changement par rapport aux grandes journées de ce début d'année contre la réforme d'Emmanuel Macron |
Les civils s'organisent face au retard de l'aide internationale au Soudan |
En Turquie, des observateurs prêts à «s'asseoir sur les urnes» pour sécuriser le processus électoral |
La présidence du Conseil de sécurité, le test ultime pour la Suisse |
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À Berne et dans les cantons Comment les électeurs genevois ont ressuscité l'Entente Au lendemain d'un second tour riche en surprises, le détail des résultats révèle que les communes bourgeoises ont lâché les candidats du MCG et de l'UDC, tandis que les quartiers populaires ont boosté le PLR. Le bulletin unique pourrait avoir joué un rôle non négligeable |
A Genève, la droite veut reprendre les rênes de l'école |
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