Tel pourrait être le cas pour les bureaux, les résidences gérées par un exploitant professionnel (ehpad, résidences seniors, résidences de tourisme, résidences pour étudiants, hôtels, cliniques, etc.), les murs commerciaux, etc.
« Les investisseurs dans ces typologies d’actifs doivent faire face à de nombreux risques sur les plans de l’exploitation, technique (obsolescence) et juridique », précise-t-il.
Les assimiler à des rentiers serait assurément faire preuve d'une grande méconnaissance de l'immobilier commercial.
« Une mesure simple, lisible et compréhensible par tous serait donc de sortir du champ de l’IFI tous les actifs immobiliers loués par bail commercial.
Une telle décision serait juste... mais justice et arbitrages budgétaires ne font pas toujours bon ménage… », conclut Benjamin Nicaise.