Une tristesse s’épanouissait dans mon corps, paradoxalement. Une tristesse alourdie au bout de mes doigts. Ainsi, mes mains, telles les géraniums de ton jardin, exhalaient des parfums autour de ton corps.
Tagged: écriture, corps, cuerpo, e-viajera, e-voyageur, espace, literatura, literature, littérature, ma poésie, poème, poésie, poétique, poema, poemas, poesía, poetry, surréalisme, surrealismo, texte triste, texto poético, tristesse, tristeza, Version céleste, versiones celestes, versions, writing