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Still Alice

Difficile de ne pas être bouleversé par Still Alice. L’histoire est toute simple : une professeur d’université, Alice, réalise à la cinquantaine qu’elle est atteinte d’une forme rare de la maladie d’Alzheimer. Elle qui a consacré sa vie universitaire à la linguistique comprend vite que la maladie va peu à peu l’attaquer dans ce qui a fait ce qu’elle est : ses mots et son intelligence (bon là, la coïncidence est un peu excessive mais on le lui pardonne).

Still Alice n’est pas qu’un Film sur la maladie d’Alzheimer ; la maladie n’y est montrée que dans ses aspects cliniques les plus connus : les trous de mémoire, la perte des repères, la désocialisation. Les symptômes sont analysés et expliqués de façon factuelle, y compris par le neurologue d’Alice qui ne lui cache jamais rien. Alice sait ce qu’il lui arrive et comment sa maladie va la faire évoluer. Le mari et Les Trois enfants d’Alice sont de la même trempe, éduqués, informés, lucides. Et c’est là, dans les subtiles bouleversements que déclenche la maladie sur les membres de la famille d’Alice que le film devient magnifique. Chacun va réagir différemment à la nouvelle donne. Valide, Alice avait les meilleures relations avec sa fille aînée Anna, son clone. Malade, c’est chez la cadette Lydia, si différente d’elle, artiste, qu’elle va trouver la plus grande empathie.

L’émotion va crescendo, on peut décider que c’est vraiment trop « cheezy » ou on peut se laisser charmer Par Les trois acteurs remarquables et par les dialogues si justes. Moi, totalement charmée. Un très très beau film, vraiment.




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