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« Comment réagir quand on sent baisser sa fréquence vibratoire, son énergie à plat ? »

Tags: nous

par Lydia

J’avais une telle pêche ce matin que j’ai dû aller m’allonger au bout de six heures pour récupérer. Je piquais du nez et ne pouvais pas lutter contre le sommeil.

Je n’ai d’ailleurs pas essayé et je suis allée m’allonger pour retrouver l’équilibre énergétique.

Lorsqu’on se sent sur-excité, sans raison apparente, puisque c’est dès le réveil que la passion de vivre m’animait, on se laisse porter par l’élan et on en profite.

En général, comme on aime éprouver de la joie, on va amplifier cette fréquence mais si elle est alimentée sans être équilibrée, on va sentir un contre balancement, une grosse fatigue, un effet polarisé.

C’est un processus qui semble naturel et qui si on ne s’en effraie pas, se stabilise tout seul. Le mieux, c’est d’accepter de répondre au besoin du corps physique tel que le sommeil mais si on ne peut pas aller s’allonger, en revenant au calme par quelques respirations, ça se stabilise.

Il faut le faire régulièrement dès qu’on sent une tension ou simplement si on y pense afin de ne pas péter un câble.

Nous vivions une période d’ajustement, de nettoyage où nos mémoires cellulaires sont très sollicitées.

Personnellement, par le fait d’avoir entamé la diminution des cachets, il est naturel d’éprouver toutes sortes de sensations. On passe par tous les états, du rire aux larmes, de la pêche à la fatigue et il semble que ce soit juste une question de recherche d’équilibre.

Les émotions liées à l’enfance sortent afin d’être lâchées et quand elles s’expriment librement sans qu’on s y’ attache, elles passent, s’en vont naturellement.

En tous cas, en ne luttant pas contre ces vagues émotionnelles, en ayant confiance, en sachant que c’est un processus normal lorsqu’on abandonne des croyances liées au passée, celles-là même qui nourrissaient les rôles de victime, de bourreau et de sauveur, la transition est beaucoup plus fluide, facile et l’harmonie revient vite.

Ça peut parfois demander plusieurs heures, voire des jours d’attention à son monde intérieur mais quand c’est devenu un art de vivre, on ne fait même plus attention au phénomène.

Nous sommes juste en train d’apprendre à maitriser notre monde intérieur, à faire confiance à la source et à la vie.

Bien évidemment des programmes internes s’opposent à cela.

Pas dans le sens où ils voudraient nous saboter volontairement parce que ce ne sont que des programmes, des logiciels que nous avons hérités de nos ancêtres et comme le pensent certains, de vies antérieures.

Je préfère éviter de m’embarquer dans ce genre de considération pour plusieurs raisons même s’il m’arrive d’avoir des images de personnages et parfois même des contacts.

Ça peut très bien être autre chose, la conséquence de la conscience qui s’ouvre et les voiles entre les mondes, les dimensions, qui se déchirent.

Je me fie davantage à ce qui est relatif à cette vie et vérifiable comme les ancêtres avec qui nous sommes liés génétiquement, qu’à de supposées vies antérieures dont je n’ai pas de preuves. Et surtout, qu’on ait ou non des contacts avec ces entités, énergies personnages, ce qui compte surtout c’est ce qu’on en fait, aujourd’hui, maintenant.

La solution est là. 

Les questions sont infinies puisque notre mental, notre cerveau sont conçus pour traiter de l’information et plus on les nourrit plus on s’interroge à propos de tout et n’importe quoi, plus ils travaillent. Et il faut bien l’admettre la plupart de ces questions n’ont aucun intérêt.

C’est là où le discernement est nécessaire et c’est d’ailleurs en pareille occasion qu’on reprend le pouvoir sur le monde des pensées, qu’on apprend à utiliser cette capacité de discerner. Quand je dis pouvoir, c’est très relatif puisqu’on est conscient de seulement 10% de nos pensées.

Le pouvoir réside dans la capacité de lâcher prise et ainsi de laisser notre intuition, notre cœur et son intelligence supérieure, faire le tri dans ces questionnements.

Puis quand on sait ce qu’on veut, il est plus facile de ne pas se laisser embarquer par le flot incessant des pensées.

Quand on a vécu toute sa vie en s’identifiant à son esprit, sa pensée dont l’intuition fait partie, on va avoir besoin de comprendre un maximum de choses et c’est une bonne chose mais ça peut vite devenir un enfer parce que c’est très souvent la peur et le manque d’appréciation de soi, de confiance en soi, qui en sont les moteurs.

Pour cette raison, en commençant par définir ce que nous voulons, comment nous voulons nous sentir, il sera plus aisé de sélectionner les pensées qu’on veut suivre ou nourrir. Puis de lâcher prise, de vivre les émotions qui y sont associées sans y attacher d’importance.

Pour cela, il faut bien évidemment savoir qui on est en vérité, être convaincu d’être issu de la source, d’être autre chose qu’un corps physique, un corps mental et un corps émotionnel.

Nous n’avons cependant pas besoin d’être conscient de cela si on sait écouter et suivre son cœur.

Beaucoup de gens sont connectés à la source intérieure sans même le savoir intellectuellement. Ils vivent en harmonie avec leurs proches, sont dans une juste appréciation d’eux-mêmes et n’ont aucun problème. Bien qu’ils soient rares, ils existent. Puis la vie amène toujours à réfléchir, à contacter cette essence originelle.

Très souvent, on se dit croyant quand on fait partie d’une église, d’une communauté religieuse mais on se heurte alors aux dogmes à la rigidité des lois humaines basées sur la hiérarchie, l’idée que certains sont plus intelligents ou valeureux que d’autres.

Le résultat c’est que peu de gens maintenant et surtout les jeunes peuvent se satisfaire de cela et c’est très bien.

Être spirituel est une histoire intime, intérieure, une connexion consciente avec l’essence de l’être.

Pour en revenir aux vies antérieures, ce qui nous laisse penser que nous avons vécu plusieurs vies, ce sont les religions venues des Indes qui ont répondu au besoin d’exotisme, de renouveau des occidentaux en souffrance dans une société de plus en plus matérialiste où l’argent est placé au centre de toutes les attentions.

Ceux qui en ont beaucoup en veulent toujours plus et ceux qui en ont peu ont peur de manquer.

L’engouement pour les religions bouddhiste, Hindouiste, orientales, ancestrales voire tribale est une bonne chose dans le sens où on s’ouvre, on sort des carcans imposés par les religions devenues des institutions tout comme la science mais très souvent on prend tout en bloc, aveuglément.

On se fie à la lettre aux doctrines qui ont été dans les mains d’une élite qu’elle soit religieuse ou sociale, on suit des maitres, on pense que pour savoir, il nous faut étudier, adopter des postures, des rituels…on tombe vite dans la magie, faisant appel à des énergies dont on ignore l’origine, la qualité énergétique.

On passe d’un conditionnement à un autre essayant de se connaitre au travers des autres. On ne fait que changer de miroir sans jamais oser se regarder en face, plonger vraiment en soi.

On s’étonne alors de se sentir impuissant, ignorant et fragile.

Je ne suis pas en train de dire non plus que les religions sont mauvaises, que les écrits anciens sont faux ou que les êtres qui communiquent avec des entités sont douteux.

Ils jouent le rôle de miroir et le danger réside dans le fait de les croire aveuglément, de suivre leurs préceptes au lieu d’apprendre à se connaitre et d’utiliser sa capacité de discernement, son ressenti.

Même celui qui est honnête, qui pense recevoir des messages de l’au-delà, n’a aucune garantie quand à la nature des entités qu’il contacte.

De même, réciter des mantras, des formules dont on ne comprend pas le sens ou écouter des méditations censées guérir par les fréquences hertziennes, qu’on peut trouver sur Internet, c’est encore nier le divin en soi et aussi sa capacité de réfléchir, de sentir, de raisonner et de résonner, de penser par soi-même.
Si on pense que ça va nous amener sur la fréquence du cœur, nous éviter d’avoir a affronter nos peurs, on est dans l’illusion mais si on se sent poussé à le faire sans trop se poser de questions, ça peut aider à prendre confiance en son ressenti, son intuition.
Et cette confiance va créer un bien-être, plus de proximité avec soi-même, de confiance.

La source nous a créé entier, complet et dès lors que nous sommes vivants, incarnés, nous disposons de tous les outils en nous pour accéder à la vérité. Celle qui nous concerne et aussi celle qui est commune à tous.

Avec un cœur et une conscience, nous pouvons sentir et comprendre puis avec nos sens, pressentir et percevoir. Il ne s’agit pas d’avoir des visions mais d’apprendre à utiliser nos outils de perception de façon juste, appropriée.

Notre vue nous donne une perception inversée des choses tout comme notre cerveau mais si nous nous centrons en notre cœur, notre corps, à l’endroit où la vision est élargie, où les corps sont en symbiose, nous allons pouvoir appréhender le monde de façon juste.

Le problème en général c’est qu’on manque de confiance en soi alors on se tourne vers l’extérieur pour obtenir l’approbation, pour être validé, reconnu et apprécié.

Mais nous sommes les seuls à pouvoir le faire avec justesse parce que nous sommes les seuls à pouvoir nous connaitre de l’intérieur, à savoir précisément ce qui nous porte, nous motive, ce que nous pensons réellement.

Notre inconscient n’est pas totalement verrouillé, inaccessible mais si nous n’y avons pas un accès directe, ça n’est pas par hasard. Non pas spécialement que nous ayons des choses horribles enfouies à l’intérieur, des souvenirs de vies passées ou autre mais par notre simple constitution.

Notre inconscient, notre mémoire, notre tronc cérébral fonctionnent en mode survie, en mode prédateur et le manque d’amour de soi nourrit des idées négatives à propos de nous même et des autres.

On se targue d’être spirituel, de vouloir vivre dans un monde de paix et d’amour mais si nous nous écoutons simplement penser on va se rendre compte des pensées de haine, de violence, de meurtre parfois, que nous émettons à l’encontre de certaines personnes qu’on juge justement d’être horribles.

Il n’y a pas non plus à culpabiliser pour cela puisque c’est inscrit dans notre inconscient comme un réflexe conditionné du au seul fait que nous sommes intérieurement divisé, notre cerveau est composé de trois parties au moins qui gèrent chacune des systèmes réactionnels spécifiques.

Disposer d’un cerveau reptilien et mammalien qui régissent nos émotions ne veut pas dire non plus d’aller au bout du processus, de matérialiser la pensée.

Ce n’est pas parce qu’on pense à tuer on voisin qui plante des clous à 23heures qu’on est un assassin pour autant même si la pensée c’est de l’énergie.

Très souvent je me dis que toutes les théories à propos des reptiliens, des démons, ne sont que les énergies qu’on juge mauvaises en soi et que nous tentons de projeter loin de nous. Et comme les pensées créent des égrégores, il est fort probable que tout ceci ne soit que le fruit de l’imagination collective qui a formé le monde des entités.

Et de la même façon que chacun porte des pensées émotions sombres et lumineuses, il existe des mondes éthérés composés du même type d’égrégores.

Et c’est tout à fait possible que ceux qui disent canaliser des entités supérieures aient à faire à ce genre d’énergies, qu’elles soient positives ou négatives.

Mais tout ceci n’a pas d’importance pour peu qu’on ne s’attache pas aux personnes qui prétendent connaitre La vérité. Ce qui compte, c’est le message, ce que nous apprenons et surtout comment nous nous sentons en les lisant ou en les écoutant.

Encore une fois, il y a autant de vérité que d’individus. Il y a celle de l’individu et celle de la source mais là aussi, c’est vaste !

Bon je ne vais pas encore partir sur des théories à rallonge mais juste rappeler qu’en étant dans l’accueil de ce qui se présente, sans chercher à savoir intellectuellement « quoi ou qu’est-ce ? », on a toutes les ‘chances’ de toucher au divin en soi.

De sentir que nous sommes profondément aimés, guidés parce que c’est en apprenant à observer dans le calme, en prenant du recul sur ce qui est, qu’on peut sentir cela, avoir la certitude que l’amour est tout puissant et qu’il nous est permis de rêver, de croire que tout est possible, réalisable dans cette vie, ici et maintenant.

Croire et même savoir que nous sommes issus et constitués essentiellement d’amour, de lumière, et qu’en vibrant cette énergie, notre vie, notre être va s’épanouir dans cette connexion à son corps, à son cœur, à son être.

La vie veut se déployer en nous de façon sublime et ça ne sont que nos croyances qui la freinent, la limitent, la contiennent, enferment notre cœur nous faisant croire que cet amour et inaccessible, impossible.

Nous sommes cet amour, cette Vie infinie mais pour le savoir il faut ôter les masques, se regarder en toute transparence, offrir toute peur, tout doute, toute pensée dévalorisante à la source en soi.

On ne va pas se voir briller d’un seul coup mais les traits du visage, les postures vont s’adoucir, s’affermir et cette étincelle de vie qui anime tout être va progressivement se rallumer à mesure qu’on va trouver la passion de vivre.

A ce propos, j’ai publié tout à l’heure sur l’autre blog, un article qui parle d’évènements qui à mon sens, témoignent de l’ouverture de cœur et de conscience qui est en train de se réaliser à l’échelle mondiale. Vous pouvez y accéder en cliquant ici : « Morning gloryville »

Je vous souhaite en tous cas de vous voir avec les yeux de l’amour même si au départ, ça commence par juste s’accepter tel qu’on est.

Quand on le fait, tout change autour de soi et en soi.

Plus on va y mettre de l’énergie, plus on va lâcher les pensées injustes et plus la paix, la joie et le bien-être vont s’installer, effaçant à jamais les souvenirs traumatisants.

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr

Retrouvez les chroniques de Lydia sur la Presse Galactique

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