A l’occasion de son anniversaire, l’opérateur de Françoise Hardy, l’idole des années 60, atteinte depuis cinq ans d'un cancer du pharynx, et qui subissait de rudes procédés et des confusions quotidiennes a confirmé en abordant ses nouvelles qu'elle «résiste».

Son 78ème anniversaire, le 17 janvier passé, ne s’était pas passé au rythme des chants, mais dans une atmosphère de chagrin malheureusement, suite aux confusions de sa tumeur. Ainsi, son confident et ex-mari Jean-Marie Périer a a fait recours, le 16 janvier passé, à Instagram afin d’informer ses admirateurs de ses des nouvelles, après son éclipse des médias dès qu’elle avait décidé de se retirer de la scène deux ans auparavant.

Le photographe a ainsi choisi une de ses photos où parait Françoise Hardy à coté de l’instrumentiste Alain Chamfort pour informer le public de la chanteuse de ses nouvelles: «Pour ceux qui s'inquiètent du sort de Françoise, disons qu'elle se bat, qu'elle tient le coup du mieux possible, et qu'elle continue d'écrire tous les jours parce que c'est ce qu'elle préfère et qu'elle fait le mieux. Elle a toujours eu ma tendresse, maintenant en plus, elle a mon admiration». Puis il a certifié: «Nous avons en commun de ne pas être emballés par les anniversaires, aussi demain, je me contenterai de boire un verre à sa santé en évitant les banalités d’usage».

Autant son nom lié à celui de Jacques Dutronc, le premier amour de Françoise Hardy demeure Jean-Marie Périer, son photographe et descendant d'Henri Salvador. Ils avaient vient ensemble pendant 4 années, entre 1963, date de leur rencontre, et 1967, où elle a fait connaissance du chanteur Jacques Dutronc, père de son fils, Thomas. Pourtant, Périer qui fête son partenariat au programme «Salut les copains», garde toujours des rapports intimes avec Françoise, comme en témoigne ses déclarations à «Le Temps» avant deux ans: «Elle reste ma meilleure amie. C'est elle qui m'a présenté Dutronc, et je me suis toujours attaché aux mecs pour lesquels j'étais quitté. Il n'y avait ni jalousie, ni aigreur».

Dès que «RTL» avait parlé, trois ans auparavant, de sa maladie, Françoise Hardy affrontait les signes pronostiques de ses médicaments, à savoir des «problèmes du quotidien, des inconforts graves liés aux séquelles de la chimio et de la radiothérapie», comma a révélé Son Fils Thomas au Parisien, fin 2021. Etat de santé si compliqué  qu'il l’avait obligé à démentir les «On Dit» qui avaient même  parler du fait que sa mère est décédée.

Des confusions relatives à son cancer, annoncé il y a 5 ans, qui se manifestent au quotidien. Françoise Hardy en a déclaré à «Femme Actuelle» : «Je ne peux plus avaler grand-chose, et la préparation d'une alimentation, toujours la même, que je puisse avaler, me prend plus de cinq heures par jour. Je n'ai plus rien qui fonctionne normalement depuis ces thérapies et mes nuits sont pires que mes jours. Il y a toujours pire que ce dont on souffre soi-même, mais ce n'est pas une consolation».