Qu'il est difficile de dire, d'écrire, de crier la douleur intérieure.
Celle qui ne se voit pas, mais dont les mots/maux s'époumonent et hurlent au dedans.
Depuis un mois maintenant, à grand renfort de médicaments, on a soulagé ce mal, il est en sommeil, il se tait, je ne pleure plus, je ne dis rien, je dors beaucoup, mais je sais que la bestiole est toujours là, tapie dans l'ombre de mon apaisement.
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Il y a quelques jours, une amie m'a signalé la diffusion d'une émission Dans les yeux d'Olivier, je l'ai regardé et des larmes ont coulé, en continu, durant toute la durée de ces témoignages. Ces gens, détruits, formulaient mes mots, mes blessures, ma démolition.